Un amour faux..?
Sohanne Murrio, une brésilienne qui vie a paris depuis plusieurs années va se retrouver dans de beaux draps, une seule solution pour résoudre ça..
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Sohanne 3h28 PARIS, FRANCE 🇫🇷
Ça fait au moins deux heures qu'on parle, il est en sois gentil mais beaucoup trop sûr de lui, l'alcool qui coule dans mes vaines commence même à le trouver plutôt attirant.
- tu compte me graille les lèvres ou ? Dit-il en me sortant de mes pensées
- hein ? Nan nan heu je.. dis-je avant qu'il ne plaque ses mains contre mes hanches pour me faire passer au dessus de lui
- moi j'ai envie de te graille toi par contre. Dit-il avant de déposer des baiser sur mon cou
Click click*
C'est quoi ça ? Putian nan pas eux
- bordel de merde.. dis-je en retirant la tête de Kylian de mon cou. Arrête on a été pris en photo..
- c'est peut-être pas nous t'inquiète, viens. Dit-il en attrapant ma main pour nous faire entrer dans une voiture
- qu'est-ce que tu fais ?
- t'inquiète on va chez moi pour être tranquille, on peut ne rien faire si tu veux hein. Me rassure t'il
Sous l'emprise de l'alcool je le trouve extrêmement attirant, sans que je puisse contrôler je me retrouve sur ses cuisses a balader mes mains sur son torse et la langue contre la sienne, ses mains sont posé dans le bas de mon dos, je le sens se lever et me porter pour me conduire dans un appartement immense, il avance sans enlever sa langue de ma bouche et nous pose contre un canapé
- tes sure que tu ve- essaye t'il de dire avant que je ne le coupe en passant mes mains sous sa chemise
Ses mains se balade sur mon corps vêtu d'une simple robe noir tandis que les miennes déboutonnent simplement sa chemise, il se lève d'un coup en attrapant mes cuisses afin de me soulever pour m'emmener avec lui, il avance dans l'appartement sans lâcher mes lèvres, je le sens ouvrir une porte et me plaquer sur un matelas, je dégage sa chemise de ses épaules et caresse son torse musclé, ses mains relèvent la robe pour la retirer. Les derniers morceaux de tissus qui étaient sur nos corps se retrouvaient propulsés dans la pièce et nos corps ne tardent pas à ne faire plus qu'un.
... Sohanne 08h36 PARIS, FRANCE 🇫🇷
Je me réveille lentement sentant un poids sur mon corps, j'ouvre difficilement les yeux et remarque un bras posé sur ma poitrine et une jambe proche de mon intimité, je me relève et tourne la tête pour apercevoir le jeune homme qui m'a procuré tant de plaisir hier soir
- putain, merde Ana. Chuchotais je en me levant pour rassembler mes affaires
- mh tu fais quoi ? Dit-il en s'asseyant sur le lit
- je vais voir ma pote, je l'es laisser pour partir avec toi, putain mon téléphone il est où ! Dis-je en commençant à m'énerver
- eh calme toi, elle va bien ta pote, et tu cherches ton téléphone avant tes vêtements, tiens ton string. Dit-il calmement en me donner le bout de tissus
- merci, putain mon tel il est où. Dis-je en remettant mes sous-vêtements
- bah on a commencé dans le salon il est sûrement là bas. Dit-il en regardant mon corps encore nue
- ouais peut-être. Dis-je en m'avançant vers la porte pour rejoindre le salon
- habille toi avant, mes volets son ouvert et les voisins sont curieux. Me suggère t'il
J'attrape donc ma robe et l'enfile rapidement avant de courir au salon pour retrouver mon téléphone, il était par terre, j'ai certainement balancé mon sac a l'entrée..la honte putain
*telephone*
Ana💋 : t'es où meuf ? Ana💋 : Sohanne si t'es partis à l'hôtel sans me prévenir je vais te tuer Ana💋 : j'espère qu'il était bon au moins Ana💋 : bordel si tu m'a abandonné pour un mec qui baise mal je te casse la gueule meuf
- bah tu peut la prévenir que tu l'a abandonné contre un mec qui baise bien, parfait elle va pas te casser la gueule. Dit-il en glissant sa tête dans mon cou et ses mains sur mes hanches
- Bon je vais y all- EH ARRÊTE ! J'hurla en le sentant aspiré la peau de mon cou. Nan nan nan pas de suçon je t'en supplie ! J'ai un shooting cette après-midi..putain. Dis-je en le sentant quitter mon cou fier de lui
- il est parfait ! Dit-il extrêmement fier de lui
- putain je te déteste, aller bye je rentre chez moi. Dis-je en ouvrant la porte qu'il n'a pas fermé hier soir
- tu veux pas me passer ton numéro ? Espère t'il
- excuse moi hein mais tu est juste un craquage, Desculpe, lindo garoto. Dis-je calmement en attendant l'ascenseur ( désolé, beau gosse)
J'entre dans l'ascenseur sans le regarder, j'appuie sur le 0 et commande un uber
