Chapitre six.

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Jack en média.

L'enterrement.

Le réveil est dur, très dur.

Aujourd'hui, nous enterrons notre mère a Meallán et moi.

Je n'ai pas du tout envie de me lever, j'ai déjà eu du mal a m'endormir hier soir.

Je suis restée près de quatre heure à me tourner et me retourner dans mon lit.
Sans réussir à trouver le sommeil.

Je sens que cette journée s'annonce fatiguante..

Je me lève de mon lit et me dirige le pas lourd vers mon dressing, prend une simple petite robe noire et me dirige vers la salle de bain.

Je me dépêche de fermer les deux portes et de rentrer dans la douche, l'eau chaude qui coule sur mon corps fini de me réveiller.

Une fois savonner et rincée je reste un peu sous l'eau.

Je sors de la douche, m'essuie et m'habille.

Devant le miroir mon reflet me fait peur, j'ai des cernes violettes sous les yeux, mes cheveux ne ressemblent à rien et mon teint est livide, on dirais un revenant.

Je me maquille pour cacher les signes de ma tristesse et sors de cette pièce après avoir déverrouiller les portes.

Une fois dans ma chambre, je regarde ma valise au pied de mon lit.

Je l'ai préparée hier, après que mon père m'ai dit qu'il faudrait que je fasse mes affaires.

Je vais retourner à Los-Angeles, comme ma mère n'est plus là, il faut bien évidemment que je retourne près de mon père.

J'étais inquiète à l'idée de ne plus revenir ici, mais mon père m'a rassurée en me disant qu'il allait '' récupéré '' la maison et payer ce qu'il fallait et qu'une fois mes vingt-et-un ans, elle serait a moi.

Évidemment, je lui ai sauté dans les bras quand il m'a annoncé cela.

Cette maison je l'aime, et je ne voulais surtout pas la perdre.

J'entends des petits coups a ma porte, mon père est là, devant, attendant que je parle.

"- C'est bon, ne t'en fais pas, je suis prête..

- Je sais Mae, je le vois. Tu te sens comment ?
Il me demande en venant s'assoir sur mon lit.

- Je me suis déjà sentie mieux.
Je répond en m'installant a ses côtés.

- Tu sais, ta mère serais fière de toi, tu es si forte, je ne sais même pas comment tu fais. Hier encore Kate était en pleurs.

- Je m'en doute, maman et elle n'ont jamais cessées d'être meilleures amies...

- T'a mère était heureuse de la voir enfin heureuse, et puis, nous nous étions séparés d'un commun accord.

- Je sais... "

Je pose ma tête sur l'épaule de mon père, et reste là, un moment, près de lui.

My Brother's Best Friend.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant