J'entends ma soeur parler à deux inconnus, apparemment des hommes. J'empoigne des ciseaux qui trainaient par terre près du lavabo et je cours vers la porte d'entrée, pensant que ma soeur est en danger. Mais je la trouve dans la maison, parlant tout simplement à deux sur la palier. Elle me regarde, étonnée, et les deux hommes sortent leurs armes en me voyant avec les ciseaux. Je les posent lentement par terre en voyant leurs pistolets. - Qui êtes-vous ? demandais-je, surprise. - Des habitants de Woodbury, les bras droits du Gouverneur, dit le premier.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
- Heu, sans vouloir vous offenser, je ne connais ni gouverneur ni woodbury, alors merci au revoir. J'essaie de refermer la porte mais l'autre homme la bloque avec sa main. - Non non non, chérie, attend deux secondes ! Son ton hautain me refroidit de suite. Pour qui il se prend, lui ?!
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
- Qu'est ce que vous nous voulez ?! Foutez nous la paix ou je vous jure que nous n'hésiterons pas à vous foutre une raclée, menace Alycia. - Oh oh oh ! C'est qu'elle a du caractère ! Laisse nous entrer deux minutes, poupée, continue l'homme. Il veut passer mais je le repousse violemment et il manque de faire tomber son pote. - Dégage. Maintenant, cette maison, c'est chez moi. Je leur lance un de mes plus noir regards, mais ça ne leur fait aucun effet. Ils ricanent en nous regardant avec un peu trop d'insistance à mon goût. - Au revoir. Au plaisir de ne plus jamais vous recroiser. Ma soeur ferme la porte et tourne le verrous. On voit par l'oeillet de la porte que les deux hommes sont encore devant nous et qu'ils se parlent. Je tends l'oreille pour essayer d'entendre ce qu'ils se disent : - Qu'est ce qu'on fait ? On le rapporte au patron ? Ça lui plaira pas trop... - Ouais, mais j'ai pas envie de les tuer, ces p'tites, Martinez. Laisse tomber, tu verras qu'elles viendront nous supplier de les laisser rentrer à Woodbury... - Laisse leur un mot pour leur dire où c'est, au moins. - Ouais. Je vois celui avec la main en métal sortir un bout de papier de sa poche et y griffonner un truc. Il le laisse devant la porte et les deux s'éloignent, enfin. J'irais voir ce mot plus tard.
