Chaque jour, deux héros affrontent de nombreux dangers.
Au fil du temps, un lien puissant s'est créé entre eux.
Cependant, sous leurs masques, ils restent dotés de sentiments.
Ils ont leurs problèmes à régler en plus des missions à mener.
Ils ne son...
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Dans la voiture pour rentrer chez elle, Marinette se battait avec son chignon pour essayer de le refixer correctement. Adrien ne put s'empêcher d'éclater de rire.
Arrivés devant chez elle, ils s'embrassèrent librement avant de devoir bien se tenir.
Marinette : - Suis-je présentable ?
Adrien : (souriant de toutes ses dents) - Non et j'en suis fier !
En vérité, elle avait quelque chose de différent comparé au début de soirée. Elle avait les yeux brillants, le sourire enjôleur, le teint radieux, elle était pétillante. Bien que sa tenue et sa coiffure ne ressemblaient, de près ou de loin, à aucun style identifiable.
En ouvrant la porte, elle se sentit au bord de la nausée. Ses parents étaient encore réveillés et l'attendaient dans le salon. En apercevant Marinette et Adrien, ils se levèrent.
Sabine : - Alors ? Comment était la soirée ?
Marinette : - Très bien.
Sabine et Tom regardèrent les deux jeunes, de toute évidence, il s'était passé quelque chose. Leur fille avait l'air pressée de monter dans sa chambre et Adrien était concentré sur une chose invisible sur le mur.
Marinette : - Non, il doit rentrer, il se fait tard
Tom : - Tu avais une autre chemise en début de soirée !
Sabine : (en baissant la voix) - Tom ! Tu fais une fixette !
Marinette et Adrien s'échangèrent un regard
Adrien : (regardant Marinette) - Il faut leur dire...
Marinette : - QUOI ???
"Il est fou ! Il ne va quand même pas oser... C'est privé !"
Sabine se prépara mentalement à faire preuve d'écoute et d'ouverture d'esprit
Sabine : - Adrien, nous t'écoutons
Adrien : - Effectivement, j’ai changé de chemise quand nous sommes allés chez moi, on a commencé à...
Tom : (légèrement impatient) – À quoi ? Vous avez commencé QUOI ?
Marinette arrêta de respirer
Sabine : (posant une main sur le bras de son mari) - Adrien, chenapan ! Je vois ton petit sourire... Es-tu en train de jouer avec les nerfs de mon époux ?
Adrien : (s'esclaffant) - Oui, c'était trop tentant vu votre insinuation avant notre départ
