POUR L'AMOUR D'UN FILLEUL

PROLOGUE "La rencontre"

RÉSUMÉ GÉNÉRAL : Sirius Black s'échappe d'Azkaban et veut voir Harry avant de traquer Pettigrow. Quand il voit son filleul, il se rend compte que quelque chose ne va pas. Il décide de ne pas reproduire ses erreurs et de l'aider. Ensemble, ils vont tout faire pour l'innocenter, combattre ceux qui les menacent et devenir une famille.

N/A : Bonjour et bienvenue à tous sur "Pour l'amour d'un filleul" !

J'ai toujours adoré le personnage de Sirius Black, depuis que j'ai lu le troisième tome. J'ai toujours trouvé dommage que sa relation avec Harry ait été si oubliée des livres. J'aime l'idée que Sirius puisse devenir un parent pour Harry et souhaite -enfin- le protéger. Selon moi, si Sirius avait un peu plus réfléchi, il aurait pu construire quelque chose avec Harry, l'aider et le soutenir dans les épreuves qu'il a dû traverser.

Je voulais que Sirius se décide enfin à agir comme un vrai parrain et c'est donc comme cela que l'histoire est née, lors du confinement de mars 2020.

Il s'agit d'une histoire très longue. PAF s'étale sur cinq parties.

Cette fanfiction est également publiée sur Fanfiction.net. Pour le moment, les parties 1, 2 et 3 sont terminées et la partie 4 est en cours. Il y a 41 chapitres de publiés. Je vais essayer de les publier ici le plus régulièrement possible, mais j'essaie de corriger et modifier certains chapitres avant de les publier ici, ce qui peut expliquer le temps de publication.

Une fois cette publication terminée, je serai, enfin, en mesure de publier la suite (pour celles et ceux qui me suivent déjà sur cette histoire, je vous promets que la suite arrive, je suis en pleine rédaction !).

Bonne lecture à vous tous !

Je profite également de ce messager pour remercier chaque personne qui passe par ici, qui lit cette histoire, la commente, l'ajoute à ses favoris/follows. Votre soutien est inestimable pour moi. Merci à vous, du plus profond de mon cœur !

Prologue

"La rencontre"

Sirius Black ne se sentait pas au meilleur de sa forme. Il se sentait faible, terrassé par la fatigue, le froid et une faim terrible, qui lui donnait des nausées, à chaque pas qu'il effectuait. S'il ne s'était pas trouvé sous sa forme canine, il était persuadé qu'il se serait déjà évanoui d'épuisement.

Mais il s'en fichait, parce qu'un bonheur intense s'était emparé de lui et lui faisait oublier tout ce qu'il pouvait ressentir.

Il était libre !

Enfin !

Après douze ans à Azkaban, pour un crime qu'il n'avait pas commis, il était enfin libre !

Il pouvait se promener, courir, aboyer sans craindre de voir ses pires souvenirs remonter à la surface, sans sentir le souffle froid des Détraqueurs au fond de son cœur, sans être enfermé dans sa petite cellule, sans entendre les hurlements des autres condamnés, sans devoir se rouler en boule contre lui-même, espérant que le jour prochain serait le dernier...

Tout n'était pas parfait ; il était sous sa forme canine, il allait devoir se cacher s'il ne voulait pas mourir et il fallait qu'il retrouve ce traître de Peter Pettigrow, qui était responsable de sa situation et de la mort de ses amis.

Mais tout cela n'avait que peu d'importance à ce moment précis ; tout ce à quoi Sirius pensait c'était qu'il était enfin libéré de ses chaînes.

Cette sensation de liberté lui avait été ôtée pendant près de douze ans et le simple fait d'y penser lui donnait envie d'aboyer de joie. Il se sentait si heureux que son ventre se contractait de bonheur. Il était persuadé qu'il en aurait eu les larmes les yeux, s'il n'avait pas été sous sa forme d'Animagus.