My nurse and me

Chapitre 2

Deux mois plutôt

[Maison Tommy]

TOMMY

-Mais où sont c'est putain de cigarettes ? Grogne-je dans mes dents avant de les trouver en dessous mon lit.

Je l'es ramasse avant d'en sortir une du paquet et de la coincer entre les lèvres.

Allumant la cigarette avec mon briquet, j'inhale la fumée de nicotine qui me détend instantanément. Je m'allonge sur mon lit tout en tirant sur ma cigarette, profitant du peu de calmes qui s'accorde à moi. Mes yeux se ferment et deviennent lourd, je l'es ouvre pour éteindre ma cigarette et les referme. Au bout de quelques minutes je plonge dans un sommeil réparateur.

___

Un bruit de fond que je ne saurais déterminer me fait revenir peu à peu à la réalité.
Mes paupières s'ouvrent avec difficultés, n'ayant pas envie de me réveiller maintenant.
Le bruit qui me fît m'assoir sur le lit est la sonnerie de mon portable. Je vois le nom de ma mère s'afficher.

Mon doigt glisse sur l'écran et je décroche.

-Mama ? Dit-je a travers le portable.

-Chéri, il ne faut pas que tu t'inquiète. Dit ma mère d'un ton calme.

Je fronce les sourcils.

-Comment ça que je ne m'inquiète pas, qu'est-ce qu'il se passe ? Grogne-je en me levant brusquement de mon lit.

Elle ne répondit pas.

-Ou tu es maman ? Parlai-je d'un ton faussement calme et en dévalisant les marches des escaliers deux par deux.

-Je suis à l'hôpital du cancer de New York. Rejoint moi et promet moi d'aller doucement. Dit elle d'une voix inquiète.

-Je ne fait pas de promesse. Je raccroche avant qu'elle ne réponde, prend les clés de ma Fors Mustang et je cours jusqu'au garage.

Je déverrouille la voiture et grimpe aussitôt.
A peine sorti du garage et passer le portail gardé par quelques uns de mes hommes, j'enfonce mon pied sur la pédale d'accélérateur pour atteindre une vitesse très élevée.

Je reçois un nouveau appel, que j'accepte en voyant le nom affiché :

{Élio}

-Qu'est-ce que tu me veux blondinet ? Prenant mon ton exaspéré.

Élio est mon bras droit. On se connaît depuis 12 ans, j'avais 10 ans et lui 12. Mon père avait accepter de le prendre sous ses ailes pour que plus tard quand je serai le chef du cartel, -se qui est le cas à présent- Élio soit mon bras droit. A l'heure actuelle il est plus que mon bras droit, c'est mon frère.

-Encore énervé ? Pour changer... Je l'entend pousser un soupire au téléphone.

-Parle ou dans 3 seconde je raccroche ! Grogne-je.

-Oui mon seigneur. La cargaison d'arme et de drogue est arrivé en Suisse. J'ai payer les douaniers assez pour qu'ils ferment leurs gueules. M'informe t'il.