Pitié sors de ma tête.
Si tu savais comme j'en ai assez de souffrir
A ressasser des souvenirs que me bouffe de l'intérieur.
Parce qu'aujourd'hui l'opression que tu créé en moi est encore plus puissante qu'avant.
Je m'étais persuadée de tourner la page
Mais encore une fois, je me suis mentie à moi même.
Car tu n'as jamais quitté mes pensées,
Tu n'as jamais cessé d'être au cœur de mes cauchemars,
Je n'ai jamais arrêté de murmurer ton nom la nuit.
Foutue maladie.
Alors je t'en prie, quitte ma vie.
Parce que la haine que je ressens pour toi est en train de se transformer en une habitude qui me pourrit la vie._ anxiété.
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Résilience
Poesía𝒄𝒂𝒑𝒂𝒄𝒊𝒕𝒆́ 𝒂̀ 𝒔𝒖𝒓𝒎𝒐𝒏𝒕𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒉𝒐𝒄𝒔 𝒕𝒓𝒂𝒖𝒎𝒂𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔. C'est le vestige d'un combat. Une lutte intérieure Que je mène depuis tant d'années. Ce recueil est pour toutes ces personnes, qui se sont égarées qui se sont retro...