à la maison, je pleure.
je lui dis que je l'aime
désolé pour tout à l'heure.
mais il est comme en transe.
il retire mon pull et le lance
me plaque contre le mur
et me gifle contre le sol dur.
il me pousse dans le lit,
m'enlève tous mes habits,
me pénètre en criant.
je gémis en pleurant.
VOUS LISEZ
j'aime ta violence
Poezjail mouilla mon corps nu de ses grosses larmes déchues désormais nous formions un concert de passions mêles de désespoir.