1- Je t'avais dis qu'il t'aimait..

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Je me réveilla à cause du soleil m'éblouissant légèrement.

Je ne vous ai pas dit mais Je n'ai plus de parents, ils sont morts, je ne sais rien deux, absolument rien.

La principale raison pour laquelle je me fait harceler et car j'ai cinq doigts.

Mais bon, j'ai l'habitude, ça ne me touche plus tant que ça, même si physiquement, je prend beaucoup généralement.

Je partis chez Nil, ma seule amie, quand Ely passa devant moi, seule.

S'il y a uniquement elle, c'est déjà beaucoup moins effrayant, car elle est nulle pour se battre, mais quand ses frères sont là, c'est une autre chose.

-"Bah alors Ska'a, tu fais quoi ?

-Du golf.

Elle fronça les sourcils, puis esquia un sourire moqueur.

-C'est quoi du.. golf ?

Cette pimbêche ne sait même pas ce que je dis, si en plus elle croit que je vais lui dire, elle se fout le doigt dans l'œil.

-Quelque chose que font les "Ska'a", comme tu dis.

-Tu as de la chance que mes frères ne soient pas là, car tu serais déjà à terre.

-Oui mais je ne le suis pas, allez à bientôt !"

Dis-je en lui faisant un clin d'œil.

Je passa à côté d'elle, la poussant, elle me regarda et leva les sourcils.

-"Pauvre orpheline..

-Pauvre conne !"

Je reparti en route chez Nil, un sourire moqueur collait à mes lèvres.

Cette peste est vraiment ridicule seule, on dirait presque que c'est moi qui l'harcèle parfois.

À peine avoir toquée à la porte de ma meilleure amie, elle s'ouvrit en vitesse, me faisant sursauter.

-"Ça va ?

-Oui ! J'allai te chercher ! Suis moi.

Elle me prit la main et m'amena dans sa chambre, je salua brièvement sa mère de la main qui est dans la cuisine en train de préparer le déjeuner.

Nil a perdu son père dans la guerre contre les hommes du ciel, ce qui a profondément touchée sa mère, qui a dû élever ma meilleure amie, seule, c'est donc là que les Sully sont devenus proche très d'elle, et par la suite, de sa fille.

-Ce soir je suis invitée chez les Sully avec ma mère..

-Comme partiquement tout le temps, mais ok !

-Tu dois venir.

Je leva les yeux au ciel, ça doit être la deux- centième fois qu'elle me le demande, mais je refuse toujours, j'ai peur de comment il pourrait me voir, me juger même.

-Non, pourquoi tu me demandes à chaque fois ? Tu sais très bien la réponse.

-Mais là c'était pas une question, tu viens.

Dit-elle d'un air très sérieux, je souris légèrement, elle ne veut vraiment pas comprendre !

-Tu ne peux pas m'obliger de toute manière.

-Moi non, mais oserais-tu dire non à ma mère ?

Bien joué, elle a raison, j'ai une très grande respect envers sa mère, il m'est donc impossible de dire non.

Arrête de hanter mes pensées, Lo'ak.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant