poétiquement faux sonnaient tes « je t'aime »
ta voix diminuait pour souffler ces petits mots
si importants qu'ils en devenaient fades
l'adrénaline devenait lassante
ce n'était plus magiquetu semais le chaos
ne laissant que les fragments de mon être volant dans les airs
à la recherche d'une place convenable
sûrement pas dans tes mainsjamais plus entre tes mains