The Earth is Online ▲Partie.II

Chapitre 77 | C'est une bénédiction d'avoir une belle fille Mr. Fu !

Au nom de Li Wen, un regard confus apparut sur le visage des deux frères et sœurs. Le jeune homme regarda Tang Mo et demanda, "Li Wen? Je n'ai jamais entendu ce nom avant, pourquoi ?" Il tourna la tête vers sa sœur, "Sœur, avez-vous entendu parler de ce nom ?"

La femme aux cheveux courts se demandait aussi, "jamais entendu parler de ça."

Les expressions sur le visage des deux hommes ne semblaient pas faire semblant, ils ne connaissaient vraiment pas Li Wen. Le regard de Tang Mo baisse lentement, et il regarde régulièrement une montre au poignet de l'homme. Devant la fenêtre, le vent sifflait de plus en plus et le bruit de la pluie s'estompe. La voix basse de Fu Wenduo a sonné : "La pluie s'est arrêtée."

L'homme a dit : "La pluie s'est arrêtée, tu pars ?"

La pluie s'était arrêtée, mais il faisait nuit dehors, et une lune en déclin pendait dans le ciel. Tang Mo n'a rien dit quand la femme aux cheveux courts a dit : "Il fait nuit dehors, donc on ne vous raccompagne pas." Son ton était un peu urgent, ne cachant pas son intention de s'en débarrasser. Mais elle a rapidement ajouté pour couvrir ses émotions, "Si .... vous voulez rester chez nous pour la nuit, ce n'est pas impossible, mais nous n'avons pas de chambre d'amis, donc vous devrez dormir dans le salon."

Sans répondre à cette question, Tang Mo a demandé d'une voix calme : "Où as-tu eu cette montre dans ta main ?"

L'homme a bougé, et après un long moment, il a levé le poignet pour regarder sa montre. Il a enfoncé ses mains dans ses poches et a souri : « Je l'ai déjà acheté. M. Viktor, si vous ne voulez vraiment pas nous dire ce qu'il y a dehors, c'est bon. Je comprends."

Il a digressé, mais Tang Mo a continué : "Où l'as-tu acheté ?"

L'homme a dit : "Juste... acheter un centre commercial."

Tang Mo leva les yeux vers lui, ses lèvres étaient souriantes mais son regard était indiscutablement froid: "Combien?"

La famille Wang se tait et regarda Tang Mo en silence. L'instant d'après, les frères et sœurs tournent et courent à grande vitesse, mais Tang Mo est encore plus rapide qu'eux. Il a sauté en l'air et a attrapé Wang Wenhao par le col. Quand Wang Wenjuan a vu ça, ses yeux se sont élargis et il a sorti un pistolet noir de sa poche et a tiré d'un coup.

Son emprise sur l'arme n'était pas standard, mais sa vitesse et sa précision étaient meilleures que celles de Tang Mo, et elle avait évidemment tiré plusieurs fois en privé. Tang Mosep met la balle et relâche son emprise sur la main de Wang Wenhao. Mais la balle lui a éraflé la joue parce qu'elle était trop près, laissant une tache de sang peu profonde.

Les frères et sœurs se sont séparés et, les mains sur le sol, ont sauté trois pas en arrière, se séparant de Tang Mo de deux mètres. Les trois hommes se regardèrent et se mirent à bouger ensemble. Ils se précipitent vers Tang Mo à l'unisson, dans deux directions, une à gauche et une à droite. Le grand frère traverse la table et tire une dague tranchante directement d'en bas, tandis que la jeune sœur protège son frère avec un pistolet.

Ils n'ont pas prêté attention à Fu Wenduo, qui était assis devant la porte, et se sont concentrés sur l'attaque de Tang Mo. En un clin d'œil, trois figures sombres ont éclaté de l'herbe à l'extérieur de la maison. Le quatrième a soudainement sauté du toit, une coupe de verre ronde dans sa main, et avec un cri de colère, a tailladé la tête de Fu Wenduo. Fu Wenduo leva le bras pour bloquer le coup et la lame frappa un morceau de métal, envoyant des étincelles de métal voler. L'homme à la lame fut surpris et cria avec incrédulité.

Dans la maison, la famille Wang et Tang Mo sont enfermés dans une bagarre. Devant la maison, quatre hommes se battent avec Fu Wenduo.

Les balles de la femme aux cheveux courts n'avaient pas la capacité de suivre l'objet, mais la maison était si petite que Tang Mo avait peu de place pour esquiver, et elle aurait pu bloquer le mouvement de Tang Mo avec un tir occasionnel. Wang Wenhao était aussi très fort, et sa dague était si tranchante qu'elle frappa la table, la divisant en deux.