Chapitre 29

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◻Bonne lecture◻


Zia venait de glisser du rocher sur lequel elle était. Le chemin était en pente et glissant, la jeune inca glissa à toute vitesse vers la lave.

En la voyant partir Laguerra et Mendoza s'élancèrent à sa poursuite, si la jeune fille glissait dans la lave elle en mourait sur le champs.

Une course sur le sol était difficile, les deux bretteurs avaient si peur qu'ils nee firent pas attention et bondirent sur les rochers.

Mendoza arrivait à la hauteur de Zia quand celle ci tomba dans la lave.

M: Ziaaaaa!!!!!!!

Laguerra tenait la jeune inca, elle avait attrapé son ventre avec son fout juste à temps. Zia était saine et sauf, la catastrophe venait d'être évité. Elle reprenait son souffle. 

Z: Merci....Isabella....merci...

L: Tu nous as fait très peur Zia!

Z: Désolée...

M: Tu n'y ais pour rien. Allez reprenons vite, le niveau de lave continu à monter.

Effectivement le torrent de lave augmenté ainsi que la chaleur et si ils ne se dépêchaient pas de sortir de cette caverne , ils mourront asphyxié .

Heureusement ils finirent par retrouver la sortie et arrivèrent dans la grotte. Esteban et Tao les y attendaient. En les voyant Esteban courut dans les bras de Zia très vite rejoins par Tao.

E/T: Ziaaa!!!

Z: Les garçons!

Le couple sourit.

M: Le trio est enfin au complet.

L: Oui enfin!

E: Merci Mendoza et merci La...Isabella.

T: Isabella? Ah oui c'est Laguerra!

Zia fronça les sourcils.

Z: Tao!!!

Une fois les retrouvailles finit ils repartirent en direction de Zimbabwe.  Quand ils y arrivèrent enfin, le soleil se coucher. Ils furent accueilli par tous les villageois et par, bien sûr, les deux marins qui on voyant Zia lui foncèrent dessus manquant de la faire tomber à la renverse.

Le soir une grande fête fut organisé. Après le dîner les villageois se mirent tous à danser sur le rythme des tambours. Mendoza profita de se moment pour prendre Esteban à part. 

M: Esteban, dans la base j'ai rencontré un olmèque nommé Tyrias....il m'a chargé de te dire...que tu es le dernier des atlantes, le seul à pouvoir racheter le mal qu'ils ont fait...

Un grand silence s'installa, Esteban regarda le marin les yeux se remplissant de larmes.

E: Il...il est mort c'est ça?

L'élu se jeta dans les bars de Mendoza en pleurant.

M: Je suis désolé Esteban...

E: Pourquoi lui ?

M: Je ne sais pas, je connaît très peu cet homme mais c'était quelqu'un de grand...

E: Oui...

M: Allez sèche tes larmes et va danser avec Zia!

Le jeune garçon essuya d'un revers de mains ses joues et partit rejoindre la fête suivit de Mendoza.

Ce dernier s'approcha de l'espagnole qui regardait les enfants amusé. Il posa sa main sur son épaule.

M: Ils sont beaux n'est-ce pas?

L: Oui, et eux au moins ils dansent!

Elle lui sourit d'un air taquin.

M: Je voudrais t'inviter à danser mais pas ici...

L: J'accepte et moi aussi je préfère plus loin.

 Le couple sortit du village et sur le rythme des tambours qu'ils entendaient toujours ils se mirent à danser. 

Leurs scintiller dans la nuit, ils étaient dans une bulle, une bulle incassable...

L: Juan?

M:Oui?

L: Je t'aime...

M: Moi aussi je t'aime ma Isa...

Le cœur de la jeune femme s'emballa, ses joues rosirent de bonheur.

L: Redis le moi!

M: Je t'aime ma Isa!

L: Oh moi aussi Juan!!

Ils s'embrassèrent doucement, quand leur étreinte prit fin elle lui demanda. 

L: Tu sais ce qui me manque le plus de notre viré en Espagne...

M: Non dis moi?

L: Nous journée que nous deux...

Mendoza se mit à rire suivit du rire cristallin de Laguerra.

Cette journée si mouvementé ce finissait sur une note douce et heureuse.


A suivre....



Voici mon chapitre!

J'espère qu'il vous aura plu et désolé du retard.

Bonne fin de journée😘




594 mots

Mendoguerra depuis le débutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant