Il faisait si beau ce jour là, ma peau qui paraissait si luisante face à la lumière du jour...
Mes amies et moi étions dans la cours de récréation, toutes ensemble, nous jouions à la marelle. Sautant comme des petites lapines prêtes à se jetées dans un piège. Leur pattes étaient déjà coincés dans celui-ci sans même le savoir. Elles étaient déjà dans le viseur du chasseur, bientôt prêt à les mangés pour se nourrir. Elles ne le savaient pas encore, mais il était déjà trop tard...
Les autres enfants moins proches de moi étaient divisés en plusieurs groupes. Ils parlaient, jouaient et chantonnaient des comptines. La bonne humeur pouvait se faire ressentir et pour d'autres le temps paraissaient beaucoup plus lent. Certain étaient seules, assis prêt d'un mur, les jambes se ramenant à leurs poitrines endolories par leurs peines. D'autres étaient punis et se faisaient sermonner par les personnes s'occupant de nous.
Dans la mienne, je commençais à sentir des petits picotements. Ils étaient si désagréable que je me posa au sol. Elle me faisait mal, extrêmement mal. J'avais l'impression que l'un de mes poumons se faisait transpercé par mille petits pieux et puis au tour de son jumeau. Ma gorge devenait sèche et je pouvais sentir des petites lames grandir dans ma bouche, prêtes scinder tout ce qu'il y'avait autour de moi. Chaque respiration se montrait plus courte que la précédente. La chose qui permettait de pomper mon sang battait trop vite. Elle remontait et redescendait à un rythme irrégulier. J'en pouvais plus, tout me procurait un mal être. Les mains de mes amies me touchaient pour savoir comment j'allais. Leurs paumes de mains étaient chaudes, elles procuraient une chaleur insoutenable, mais si irrésistible. Elles étaient la source de à ce moment là mon seul bien être.
Leurs corps m'appelaient, ils me répétaient sans cesse de venir les dévorés. Le mien se refroidissait de plus en plus. J'avais besoin de cette chaleur que pour moi et personne d'autre que moi. Elles ne le méritaient pas après tout, elles ont fait que des crises pendant toute la journée et n'écoutaient pas les gardiennes. Alors comment se fait il qu'elles le mérite plus que moi ?
Pourquoi le Soleil ne remplissait plus sa tâche, il ne me réchauffait plus et mon corps tremblait.
Je voulais rentrer à la maison, j'avais froid...
J'aimerais m'allonger dans mon lit douillet et pensé à mes contes de fées favoris.Ma gorges devenait sèche, ma salive se dissipait. J'avais besoin de boire quelque chose de réconfortant, peut-être une tasse de chocolat chaud, comme celles que maman me préparait après une froide journée d'hiver.
J'en ai besoin de cette chaleur, elle m'appartient.
Je me leva donc et m'approcha de l'une d'entre elles. Ses petites dents pointues qui me permis de transpercé sa chaire tendre et fraîche. Un goût métallique et sucré descendais le long de ma gorge asséché par ce manque de liquide. Cette chaleur que je pouvais ressentir et ce liquide qui descend le long de mon œsophage. Ma mère aurait été si fière de moi, je n'ai pas gaspiller. J'ai tout bu jusqu'à la dernière goutte. Mais là je voulais une deuxième portion, encore. Je me releva et fit la même chose avec le reste d'entre elles. Se moment d'hydratation profonde, je l'adore.
L'acide de mon estomac remontant à ma gorge. Mon cœur qui battait vite, ma poitrine endolori, mes jambes prêtes à me lâcher. Tout ça c'était fini, je me sentais bien et relaxé
Mon esprit n'était plus là. je réfléchissais qu'à mon bien-être, mais c'est quand j'entendis un cri strident que je me réveilla de ce rêve.
Mes amis gisant au sol remplis de petits trou en paire. Les corp était plus pâle que ma chevelure blanche tournant légèrement au gris. Tout les enfants me regardaient avec peur, plusieurs s'éloignaient en pleurs et partaient en courant vers l'intérieur du bâtiment.
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{BENIZAKURA} MHA
ПриключенияEst-ce que parfois vous vous demander pourquoi l'être humain est ainsi ? Sans pitié et prêt à tout pour la gloire ? Jusqu'à mentir pour parvenir à ses fins, que les intentions soient bonnes ou mauvaises. En tout cas pour ma part, oui Ils disent êtr...