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J'étais toujours enfermé dans cette cage sans sortie, depuis les années sont passé et je n'ai rien put faire. M'échappé m'étais impossible... il n'y avait pas de solution, là seule chose que je pouvais me permettre d'accomplir était d'attendre, sans arrêt.

À force de ne parler a personne j'avais l'impression de devenir folle, la solitude est mon seule ami et sûrement celui qui m'accompagnera jusqu'à la fin de mes jours. Ma peau me collait aux os, j'étais constamment faible. On avait beau m'examiner par ci par là, mais chez moi on ne trouvait pas d'alter. Bien que cela puisse nous paraître à tous comme un scénario impossible, cela était vrai. J'étais juste née comme ça en fin de compte.

Cette matinée là, j'étais au même endroit que d'habitude. Dans un coins à croupir là et me re questionner jusqu'à en avoir des migraines. Voilà comment ca marche réellement.

Et puis, un bruit sourd parcouru le bâtiment, un deuxième et ensuite un troisième. Tout ça semblait à des explosions qui se rapprochaient de plus en plus d'où j'étais enfermé depuis plus d'une décennie.

Le mur éclata en pièce, je ne serai dire si se sont des héros où des vilains qui se dresse devant moi. Ma seule pensée à ce moment là de m'enfuir.

Je me leva avec précipitation et essaya de sortir de ces murs qui me donnait si mal à la tête. Mais pendant ma tentative de fuite une main attrapa mon poignet mutilé, du aux expériences accomplies sur mon corps. Je grimaça de douleur fasse à sa forte poigne. L'individu me plaqua au sol et appuya son genoux contre mon dos. J'avais envie d'hurler, cette douleur était insoutenable, toute ces blessures ouvertes qui se trouve sur moi me faisait constamment souffrir. Alors le moindre contact devenait aussitôt pénible.

Il me secouait dans les sens et autour de moi j'entendais des cris, plus précisément des sortes d'instructions ou des ordres donné par l'homme me maintenant sur la surface dur.

Puis, un coup de feu. Je sentis le corp lourd de l'individu s'effondrer sur le mien. Son pois devait au moin faire deux fois le miens et transpirant à cause de la chaleur de la pièce.

J'en profita pour essayer de m'enfuir de l'emprise de son corp sur le mien et réussi à le soulever et le déplacer pour me libérer. Je me leva, regarda autour de moi et commença à courir hors de la salle dans laquelle j'étais resté pendant si longtemps. Le sol était froid et dure. En sortant de la salle je sentis un sentiment étrange de nouveauté, beaucoup trop nouveau. Je n'étais pas encore habitué, mais se n'était pas le moment, il y avait beaucoup plus important, comme s'échapper...

Devant moi se dressait un couloir rempli de fumé, je toussais et toussait jusqu'à en avoir mal à la gorge, plus je m'aventurait, plus la fumé se faisait dense. La chaleur commençait à me donné mal à la tête et me déshydrater, sur ce, je commença à courir en direction des panneaux avec une écriture rouge dessus que je ne peux pas lire, j'en déduis que ça dirigeait un endroit en particulier. Une autre explosion se fit entendrez, les cris des personnes parvenaient à mes oreilles. Elles étaient très fragiles, donc chaque son persécutai mes sens et me mettais mal à l'aise jusqu'à en souffrir.

Je continuais ma course sans m'arrêter, si je voulais m'échapper je ne devait pas reprendre mon souffle. Alors que je commençais à sentir mes jambes me lâcher j'entendis :

-TOUTES LES EXPÉRIENCES DE UN À NEUF CENT QUATRE-VINGT-DIX- NEUF SE SONT ÉCHAPPÉS ! JE RÉPÈTE, TOUTES LES EXPÉRIENCES DE UN À NEUF CENT QUATRE-VINGT-DIX- NEUF SE SONT ÉCHAPPÉS !!

Est-ce que je faisait partie de ses sois disant expériences dont la voix parlait ? Sûrement, mais se n'ai pas le temps d'y réfléchir, je verrais après.

Plus je courrais, plus je sentais que la liberté se rapprochait, mais tout ça fut avant que je ressente quelques chose de bizarre se passer. Mon corp était comme attirer par quelque chose, mais je ne serais dire par quoi. Se n'ai pas comme la dernier fois, mais un peu. Mes jambes ne se contrôlaient plus, elles se retourna vers le sens opposé d'où j'étais sensé ne rendre. Un, deux pas, puis, trois, quatre. Mes jambes ne s'arrêtaient pas, pourtant j'essayais tant bien que mal de me retourner, mais tout mes efforts fut en vain. Alors je me laissa guider, si je me forçais encore, je me fatiguerai plus que je ne l'étais déjà.

{BENIZAKURA} MHAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant