Chapitre 2 : Les traqueurs savent prendre le café

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Après cette petite querelles de rien du tout les deux garçon se fixèrent encore longtemps "(Altézar) Bon rien à dire ? Moi je part alors salut." Altézar partie alors toujours les mains dans les poches. "(Zespa) Il est singlé" "(Altézar au loin) J'entend tous !" "(Zespa) Laisse moi lire ! ... bon il est partie. C'était quel page ?" Le téléphone de Zespa sonna "(Zespa) Allo ?" "(Téléphone) Viens vite, à la tour du maire !" "(Zespa) la bonne blague.. attend mais t'es ?" bib*le téléphone racrocha. "(Zespa) Comment il a pue avoir mon numéro ? Et surtout comment il s'est acheté un téléphone ce clochar ?" La messagerie de Zespa rettentissa, il regarda "(Zespa en train de lire) Je ne suis pas un clochar, numéro inconnu... bizzare"

Cinq minutes plus tard devant la porte du chef du village. Un maire, et un président à la fois. Zespa soupira et ouvra la porte.
"(Altézar) Monsieur merci de m'octroyer de la main d'œuvre..." "(Zespa) Bonjour monsieur.." "(Altézar) Mais cette main d'œuvre la n'est pas de mon goût si je peut me permettre." "(Zespa) ho naaan"
Le maire Rocasto se leva déterminé à les faire changé d'avis
"(Rocasto) Vous n'avez pas le choix Altézar, j'estime que M.Zespa ici présent est quelqu'un de confiance. Votre mission si vous l'accepté est d'aller renvoyer les traqueurs près d'ici..." "(Altézar) Encore cette bande de casos ?" Zespa resta dans l'incompréhension la plus totale "(Zespa) Mais, affronter ces gens c'est du suicide non ?..." "(Altézar) tu sera brifé en route, t'inquiète c'est des guignols pour la plupart" "(Rocasto) Bien, Altézar." Altézar approcha son visage de celui de Rocasto. Un visage ferme pour un regard sans faille.
Altézar se leva et approcha Zespa avant de lui chuchoté aux oreilles "(Altézar) A partir de maintenant et jusqu'à ce qu'on rentre tu t'appelle Z." Zespa poussa Altézar "(Zespa) M. Je vous pris de m'expliquer ! Affronter ces monstres, et sortir du village ?" "(Rocasto) Vous serez brifer en route."

Zespa parta avec Altézar jusqu'au seuil du tréfonds des égouts ou il y avait une porte caché "(Zespa) quoi ?" Altézar ouvra la porte "(Zespa) Woah, mais c'est désert ?" "(Altézar) Un bandana." Zespa le mis au tour du coup pour l'empécher de sufoqué dans la tempête juste au cas où.
"(Zespa) Bon tu m'explique Altézar... ?" "(Altézar) Moi c'est A. Je suis des service secrets, les traqueurs sont les gens du monde extérieur il veulent tous notre mort sans chercher à comprendre, mais pas des monstres sanguinaire si on oublie leur pwe-pwe. Même si tu collabore avec eux ne leur fais pas confiance rappelle toi de ça. On va devoir se faire un camp, si tu sais te battre ça devrais pas être un problème." "(Zespa) Le monde extérieur... est si aride et cruelle ?" "(Altézar) Pour certaines de mes missions j'ai déjà du aller loin mais c'est toujours comme ça. Sauf a de rare endroit épargné, j'ai pas besoin de t'expliquer tu passe ton temps dans les livres d'histoire." "(Zespa) Une guerre incessante à éclaté ravagent tous, je pensais que dehors c'était plus... la guerre." "(Altézar) Nous ne somme pas des rescapés, cette guerre nous l'avons perdu... ou presque. Mon père voulait même se rendre, c'est à cause de ça que j'en suis là. En atteignant se poste j'était devenu trop important pour lui, il est peut être aigri mais il a conscience de certaine chose." "(Zespa) Il a l'air... étrange ?" "(Altézar) Un connard 24 cara tu peut pas savoir, il tous le temps archi en colère on dirait ses yeux c'est des lampadairs uv" "(Zespa) Ah..." Altézar pris les devant. "(Altézar) Droit devant à treize heure, lumière." Zespa leva son doigt et l'illumina "(Altézar) Plus fort ! Allez allez allez" "(Zespa) je vais.. de mon mieux arg." Altézar pris le doigt brulant de Zespa et le mis dans le sol, le sable se transforma en verre. La transformation fut gérer par le carbone d'Altézar, il en tira des jumelles en verre. "(Zespa) Quesque !" "(Altézar) Il y a pas que de l'eau de chaud dans le vrai monde. Le sable chaud se transforme en verre." "(Zespa) Ça explique certaine chose... lors des inflations de 2382, des gens disparaissaient presque en masse en particulier des ouvriers puis ils ont réapparu sans souvenirs." "(Altézar) Deux bâtiment, et un hangars. Quelque tantes à la gauche.... désolé j'écoutais pas." "(Zespa) On fait quoi ?" "(Altézar) T'a première mission, si tu fais bien tu peut avoir accès à des choses que t'imagine même pas" "(Zespa) j'accepte" "(Altézar) Je t'explique le plan, les bâtiments de ce genre sont souvent improvisé et alimenter par des batteries très précoce. Il devrai il y avoir un boîtier avec un logo jaune et noir. Tu coupra l'électricité en mettant ce boîtier hors service, j'étouffe les gardes avec mon pouvoir on récupère les données confidentiel de ces clowns... et on fais tous sauté en faisant une petite vingtaine de prisonniers." "(Zespa) Bien trouvé * on ressens vraiment le vécu dans ces paroles et ses actions." "(Altézar) On va attendre la nuit, elle n'est plus un problème grâce à toi * il est bavard, mais il sert à quelque chose au moins...".

La nuit tomba, Zespa se rendis discrètement derrière un mur avant de prendre un garde par derrière et lui faire faire une crise d'épilepsie grâce à son pouvoir tous en le gardant en vie. Il esquiva la lampe torche d'un autre gardes avant de rentrer dans le hangar. Deux gardes près d'un avions de bombardement en train d'être réviser par un mécano. Zespa attira un garde près du fond de la pièce pour mettre K.O l'autre. L'autre garde entenda le bruit, Zespa monti sur l'avion avant de sauté sur le garde et de le mettre K.O. "(Zespa pense) l'avion, c'est un avions de chasse semblable au F22 du vingt et une ème." Il mis sa main sur la coque et enleva la poussière pour lire une inscription. "(Zespa) F36." Il se baissa "(Zespa) Armement de pointe, ce logo. Des missiles nucléaire de cette taille ?" Zespa tourna la tête et vis le boîtier. Il s'en approcha, ouvra et vis tous les boutons. "(Zespa) je dois juste le mettre hors service. Alors..." "(inconnu) Main en l'air !" Zespa leva ses mains et se tourna lentement pour voir une fille vers la trentaine avec un pistolet électrique braqué sur lui. "(Madame X) Ici madame X, j'ai trouvé un rat au hangar."

Année en année : Partie 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant