A la fin

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Povling
appelez moi l'employer Dorestan s'il vous plaît , qu'iel vient dans mon bureau, immédiatement !
Quand je rentrai dans mon bureau, je trouva Wood assis sur mon fauteuil
—pourquoi, tu te trouves dans mon fauteuil ?
— je veux t' annoncer quelque chose
—- quoi donc ( en m'asseyant sur le siège en face ) ne me dit pas que tu vas mourir
—-quoi?hahahaha mais non !
—c'est quoi alors ?
— je vais me marier.... et .
—avec qui ??? M'étonnai je
—ça semble pas évident idiote, avec lee et pour te dire la vérité je l'ai connu même avant qu'il rentre dans l'entreprise
— le fait que tu me l'as caché, c'est mauvais, mais félicitations le gros boug wood va se marier et ....
Mon téléphone sonna et c'était celui de la maison ce qui n' annonçait rien de bon , je decrochai , une servante me répond et m'avertit qu'elle l'a peut-être découvert
— merde ! Elle sait vraiment ?
—- me dit pas que elle a découvert que c'était toi ?!
— et oui ,aujourd'hui c'est le jour des bonnes mauvaises nouvelles, je dois partir, dit à mR. Dorestan de revenir demain et que les choses soient prêtes

 
Ling poussa la porte de son bureau, si tellement violent que tous les employés sursauta
— désolé, veuillez continuer
Dès qu'elle prononça le mot « désolé » tous les employés se mirent chuchoter , mais Ling ne prît même pas le temps de se ressaisir et sortir , monta sa voiture et partit vers la maison, dès qu'elle arrivât tout le monde se tenait devant la porte , elle confirmât que ses pauvres cuisinières n'en était pour rien, donc elle monta dans vers la chambre où se trouvait Ann et ouvrît la porte...

Povling
Dès que je rentrai j' aperçût des valises sur le lit et elle était assise sur le rebord à  me regarder
—- on dirait que les valises sont plus importantes que de ce qu'on va discuter !
—-non , pas ça , dis-je simplement avant de me laisser tomber devant la porte
—-tu savais que ce jour allait arriver, non ?
Je ne répondît pas, puis je la regardai et lui demandât : tu n'as rien à dire ?
Elle éclata de rire puis me retournât la question
—qu'as tu pour ta défense ? 
— rien
— tu as dépassé les limites, parce que aimer à son paroxysme, ce n'est pas de l'amour, ce n'est même plus l'obsession
—donc, j'ai fait mal de t'aimer ?
—non , mais tu ne m'aime pas et ton soit disant amour est dangereux pour nous deux, je ne voudrais pas m'embarquer dans une relation comme ceci , que tu me renvoie du travail, prend ma maison ou je ne sais quoi , notre relation n'est pas possible , je vais m'en aller
— ne part pas, s'il te plaît, lui dis je en essuyant de garder mon calme le plus possible
Je m'avançai vers elle et lui prît sa main, mais elle refusa et commença à mettre ses affaires dans le seuil de la porte de la chambre
—Tu sais ce que j'ai sacrifié pour toi, tu savais combien je me suis retenue , j'ai beaucoup perdu dans le seul but de devenir ta compagne, j'ai même coupé contact avec ma mère et ,,,,
Je n'arrivais plus à prononcer un seul mot ma gorge piquait et se nouait à force de retenir mes larmes
—désolé, si je vais te blesser , mais je ne t'avais jamais demandé de faire toutes ces choses pour moi et je ne t'aurais jamais demander de les faire non plus
—-donc tu ne m'aimes pas ?
....,,,,

Je t aurai MS. AOù les histoires vivent. Découvrez maintenant