Le commencement

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  Waves by Lylith

Chapitre 1

( diet mountain by lana del rey )


Mardi 9 mars 7 : 00

“ Do you think will be in love forever, forever~”

Alaïs
Je suis déjà rentré dans mon appartement depuis dix minutes ou vingts
je ne sais plus très bien, je crois bien avoir perdue la notion du temps…
Et cela juste pour un simple message, et l’attente de réponse à mon appel,
Le bruit de mon téléphone résonne dans toute la pièce. J’attend, j’attend,
encore et encore, toujours en espèrent qu’il décroche, qu’il accepte cet
appel mais aussi mes larmes, mes pleures, mes supplications,
ma tristesse,
ma haine, mes peurs, mes cris, ma voix tremblante, et par dessus tout qu’il accepte ma demande ou plutôt mon besoin de lui, de sa personne et de tout ce qui le définit…
Je ne suis pas prête à perdre à le perdre, à le laisser partir, juste le laisser
je ne veux pas, je ne peux pas, je ne l’accepte pas, jamais. S’il te plait,
je l’implore, le suplie de resté à mes côtés et de décrocher à ce putain
d’appel…”ne me laisse pas seule, je t’en prie”.
La dernière sonnerie retentit pour laisser place à sa messagerie que je
connais désormais par cœur. Je relance encore une fois, puis une autre,
une autre, encore, et encore, sans m'arrêter, toujours, et encore…mais
lorsque je l'appelle la voix électronique m'interrompre
“ Moi ? Il m’a bloqué, moi à qui il avait promis tant de chose,
une vie, sa vie et la mienne, notre vie, ensemble, une maison avec un
jardin, un chien, une chèvre nommé Josie et un hamster qu’on appellerait
Rufus pour notre personnage préféré dans Lakestone, notre amour pour
les romances wattpad, nos rires partager lors des blagues nuls et des
disquettes, nos concours de dessins le plus moches et nos soirées netflix,
nos soirées sushis et Disney, il ne peut pas juste effacer cette vie
ensemble, nos souvenirs, il ne peut pas juste me laisser sans aucune
explications, sans rien, rien…
Je l’aime, je l’aime, j’aime tout chez lui… mais, et lui ?
Depuis quand ? M’a t’il aimé une fois ? Ou alors tout était mensonge et
tout était illusions. Je commence alors à gémir de tristesse, puis à crier,
doucement, puis plus fort, jusqu'à hurler, à me briser les cordes vocales,
mes yeux ne comptais plus le nombre de larmes que j’avais laissé couler
depuis déjà plusieurs heures…
Samedi 16 juin
Alaïs
Je sors de salle de sport, comme chaque jours depuis bientôt un mois
maintenant, je commence déjà à voir les résultats de mes séances en très
peu de temps.
1 mois, j’ai remplacé les larmes et la tristesse par la haine ou plutôt une
revanche, pour moi même, pour devenir la “meilleur version de moi même”
mais je suis déjà parfaite alors il n’y pas grand chose à changer.
1 mois que je recevais des messages, un numéro masqué… des appels,
aux qu’els je ne réponds jamais, mais ce soir je vais répondre.
J’ai juste attendre quelques minutes car c’est toujours les mêmes
horaires, six heures du matin, treize heures, dix-huit, puis un dernier à
vingt-trois heures trente mais les appels eux sont plus rares et jamais à la
mêmes heures. La personne qui est derrière se numéro doit être fou et un
gros maniaque pour devoir toujours appelé la même personne tout les
jours aux mêmes heures.

Vingt-trois heures trente, je l’attends sur la conversation et je reçu alors un message mais celui ci m’effrais…

Numéro inconnue : Tu m’attendais ?

Je paniques, mais pardon ? Quoi ? Comment ? J’ai peur mais j’aime le
sentiments de mystère… je n’ai qu’une solution répondre.

Alaïs : Toujours.

Mon téléphone m’indique alor qu’il avait vu mon message, mais il n’écrit
pas, j’ai peut-être déconner…mais cela me fis étirée mes levres en un fin
sourire.

Numéro inconnue : Ce petit sourire est-il pour moi ?

Alaïs : C’est bien d’imaginé des choses, mais garde les pour toi.

Je ne peux pas m’empêché de flirter avec lui, suis-je folle ? Mais j’adore ce
sentiment…

Numéro inconnue : Cela signifie que si je m’imagine toi et moi
ensemble je devrais te gardé pour moi, non ?

Mais qu’elle genre de personne à autant confiance en lui pour écrire ce genre de message. Bon terminons ce jeux maintenant.

Alaïs : Je ne pense pas que tu es bien saisie l’infirmation, qui est-tu ?

C’est à ce moment là que je réalise que je suis devant planté devant la
salle depuis,bien dix minutes. Alors je commence par rangé mon téléphone
dans ma poche et me dirige vers le parking souterrain, pour récupéré mon
bébé qui n’est qu’autre que ma moto la yamaha r1 noir. Mais lorsque je
m’apprête à mettre mon casque, je sens une présence derrière moi, je mis
mon casque et me retourne doucement, je vis un homme en habit de motard avec un casque aussi noir que ma moto, il est même pas à
quelques mètres de moi, on se regarde les deux, lui à travers sa visière,
moi avec mes yeux, personne ne parle, c’est comme un arrêt sur image, lui, moi, face à face.
Nous, même nos clignement des yeux ne sépare pas notre échange de
regards. J’essaye de l’analysé le plus possible, de chercher la couleur de
ses yeux derrière cette barrière teinté, vert, noir, bleu, marron…la couleur
de sa peau, la couleur de ses cheveux…
Mes yeux l’annalyse, le décrypte, le scan.
Je ne peux détourné de le regardé, comme si le temps s’est stopper, j’ai
des frissons partout dans le corp, de la nuque, à mes chevilles, nos yeux
ne sont pas quitter depuis notre premier regard, comme si ce serait le
dernier, mais je rêves que ce ne soit qu’un parmis des milliers, parmis une infinités.
Je veux continué cette échange de regard, encore un peu plus.
Mais le bruit de la porte me réveille et me fais lachez ce contact, je baisse
ma visière et me retourne sans le regardé, j’enfile ma vest et mes gants et monte sur ma moto, en sentant toujours son regard sur mon corps et je mis alors le contact et d’un coup je sentis une main sur la mienne qui est
gantée, je releve alors les yeux et je vis le même motard, mon motard
tourne,et tourne, quand dans un simple geste, il pose son autre main sur le dessus de mon casque et me lache, sans me quitté des yeux.
Je lui fais signe de tête, pour lui dire que je vais partir, il repond du même et je lache alors le regard de lui et pour une bonne fois démare et quitte le parking.
Sur le chemin toute mes pensées se sont emballées, qui est il ? Est-ce lui
le numéro inconnue ?
Une fois rentrée chez moi, je retires tous et par me doucher pour calmer
ma tête. Lorsque je repris mon téléphone je vis une notification du numéro,
je l’ouvre donc.

Numéro inconnue : Cela doit repondre à ta question, n’est ce pas,
Alaïs ?

FIN DU PREMIER CHAPITRE
Lylith
Merci pour votre lecture
Vous m'excuserez pour la mise en page j'ai fais un copier coller et je ne pensais pas que cela allait rendre comme cela !
Bisous et encore merci !

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