Chapitre 2

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( Friends - Chase Atlantic )

Samedi 16 juin

“ Tell we aren’t just friends “
Numéro inconnu : Cela doit répondre à ta question, n’est ce pas,
Alaïs ?
Donc c’était lui, je m’en doutais mais comment sait il mon prénom ?
Comment savait il que je lui souriais, comment savait-il que j’allais au
parking, me suit-il ?
Je pense; j’en suis même sûr, mais pourquoi ?
Pourquoi me parler seulement par message ?
Alaïs : Pourquoi me parle tu seulement par message, maintenant que tu t’es montré à moi ?
Que vas-tu répondre à ça ? Monsieur l’inconnu.
Numéro inconnu : Je te manque déjà à ce que je vois. Me montrer à
toi, tu n’as vu qu’un casque, à moins que tu aurais aimé en voir plus, Alaïs, ne perds pas patience si vite.
Ho ? Il veut jouer à ça, pas avec moi, et s’il me connait si bien, il devrait le
savoir. Même si je n’est pas une grande répartie, je sais contre attaquer,
fais tes prières chéri car le combat ne fait que commencer.
Alaïs : Elias, yeux vert avec une touche de marron, métisse, 24 ans,
cheveux brun ondulé, militaire, je continue ou tu en as assez, car j’ai
peur que ce soit toi qui perd patience ?
Je l’ai terminé, j’adore être pire que les agents du FBI quand il faut
retrouver les instas de mes amies ou autres. Mon petit talent, on peut
l'appeler comme cela, par contre, pour le métier je ne suis pas sûr mais
j'espère que cela passera. Dans ta face, “inconnu”. Je ne perdrais pas, je
t’en ferais la promesse. Fière de moi, je laisse échapper un rire de ma
bouche. Je bois à la tienne que ma victoire soit ta haine.
Numéro inconnu : Je vois que tu tiens déjà à moi, mais chérie je ne
suis pas militaire, loin de là, je ne suis pas un justicier, car je
brûlerais le monde pour toi, Alaïs. Toi comme moi savons que notre
combat vient de commencer, alors que le meilleur gagne.
Il n’est donc pas militaire, il avait pourtant la carrure. Je n’aime pas perdre,
je déteste ça et je déteste le fait qu’il croit tout savoir.
Je ferais tout pour le faire plier le premier, même si je dois me démener
pour gagner, je sais que je gagnerais, quand je réussirais, je l’écraserais
comme une fourmis. Mais je pense que cela va être plus dur que prévu car
s’il connaît le moindre de mes faits et gestes, je vais devoir jouer la carte
du hasard, et d' être imprévisible.
Ce combat va se transformer en guerre ou la fierté l’un des deux sera
brisée. C’est le jeu. Mais qu’elles sont les règles.
Je me laisse tomber sur mon lit, en attendant le sommeil.


Elias :

J'éteins mon mobile. Elle doit sûrement dormir, maintenant qu’elle est au
courant de qui je suis cela me facilitera, la tâche.
Je dois juste lui faire croire que je l’aime juste assez pour qu’elle me fasse
confiance et je passerais à la fin du plan.
Je descends de l’immeuble, marche par marche, le bruit de mes bottes
résonne dans tout le bâtiment.
Une heure du matin, dans cinq heures je lui envoie un message, à moin
que se soit elle qui commence la conversation, cela étonnant mais très
drôle, cette gamine, ne pourra bientôt plus se passer de moi et quand cela
arrivera, je pourrais commencer notre plan.
Mais pour l’instant, je dois rejoindre ma famille.

***

Alaïs :
Je ne suis plus rien, j’ai été aveuglé hier, mais pourquoi me parle t-il.
Et j’ai certes son prénom, son compte insta mais rien d’autre, je ne le
connais pas. Je n’ai pas peur, je ne peux pas avoir peur pour si peu.
Message de Numéro inconnu à six heures
Ce mec doit être un taré, mais je sais une chose s’il voulait me tuer ou me
faire du mal, il l’aurais déjà fais depuis longtemps. Mais pourquoi me parle t il.
Numéro inconnu : Tu attends que je te réveille, ma belle au bois
dormant, je te promets pas un doux baiser pour te réveiller.
6h00
Ce mec est taré, c’est pas possible. Mais il veut jouer…
Alaïs : Tu ne l’as pourtant pas fait ou j’aurais dû attendre encore plus alors. Viendras-tu si je me rendors Elias ?
9h30
Je l’ai joué au culot. Il le faut car cette guerre ne prendra pas fin si vite
Elias, du moins pas tant que je l’aurais décidé. De nous deux lequel est le
plus taré, je ferais tout pour gagner et toi tout pour m’humilier.
Je suis le cœur, tu es le cerveau qui gagnera ? La passion ou le contrôle ?
Ne joue pas avec moi, Elias…
Le temps passe que je perds la notion des minutes qui défilent, mais la
sonnerie de mon téléphone n'interrompt.
Vous avez reçu un message de votre contact : Issack
Je lu, puis relu, la notification, c’est pas possible, c’est impossible. Il vient
pour me mettre encore plus mal. Pour me prouver qu’il a trouver mieux,
que veut-il.
Je ne veux pas ouvrir, je ne peux pas, je ne ferais plus l’erreur.
Il doit s’être trompé mais pourquoi maintenant, pourquoi quand je
commence à me reconstruire. Et voilà que mes larmes commence à piquer
mes yeux, je veux bien jouer le rôle de la femme forte et courageuse qui
n’a peur de rien et qui à confiance en tous se qu’elle fait, mais je ne peux
pas fuir se que je suis.

J’ai tout fais pour l’oublier et un claquement de doigt, il réussit à détruire
tout ce que j’ai bâti. Mes larmes défilent sur mes joues pour la millième
fois, elles tombent presque sur le sol sans avoir le temps de glisser, une
autre puis une autre, ce sont les vagues, des océans, je suis comme la
petite Alice qui grâce à ses larmes va se noyer toute seule. Je vais me
noyer aussi, car plus je pleure plus ma gorge se serre, plus j’ai du mal à
respirer, je me noie sous mes larmes salées comme Alice, je ne respire
presque plus, j’ai de plus en plus de mal à ouvrir mes yeux à cause de
toute l’eau qui coule de mes yeux, j’ai mal, et j’ai besoin d’aide, je me noie,
je touche le fond des profondeur, j’ai besoin d’aide, de quelqu’un sur qui
me reposer, sur qui compter. Je me noie, je ne respire que faiblement
comme si chaque respiration que je prenais seraient peut-être la dernière,
je ne suis pas bonne en apnée, alors je laisse l’eau entrer et me noie
encore plus. Je n’entends plus rien, même plus mes pleures, je ne vois
plus rien, mais je ressens toujours, je ne bouge plus, je ne respire plus,
Une main ouvre ma bouche et y mets de l’aire comme pour me ranimer, je
reprends conscience, juste un peu mais pas tout à fait, je n’ouvre pas les
yeux, mais maintenant je comprends enfin la situation, quelqu’un à du
m’entendre, et défoncer ma porte ou appeler les secours, mais tous se je
sens maintenant c’est des lèvres sur les miennes qui m’alimente en
oxygène, les lèvres d’un sauveur, de mon sauveur. Plus le temps passé
dans cette position plus je reprends conscience alors une forte envie de
tousser me prends, alors je pousse mon sauveur et tousse, toujours les
yeux fermés car mes cils sont comme collés entre eux, mais plus je tousse
plus j’ai peur de me noyer de nouveau, mais je sens une main sur mon dos
et dans souffle je réussi à comprendre ses mots.

Respire calmement, ne t’inquiète plus je suis là s’il y a un problème.

Je discerne une voix d’homme grave mais bienveillante, je ne prends pas
la peine de le remercier, car il sait. Je me calme alors je réussi à respirer
calmement mais je n’arrive toujours pas à ouvrir les yeux.

Parfait, je suis fier de toi, continue comme ça

Ha, mon coeur, c’est les seules mots que j’ai toujours voulu entendre, ceux
qui me sont si importants pour moi.

F

IN DU DEUXIÈME CHAPITRE

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 06, 2023 ⏰

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