-OS-one piece

Zoro x reader

La jeune Y/n se trouvait devant une grande porte en bois, accompagnée par son père. Un homme robuste, un grand vice-amiral de la marine, aimé et apprécié de tous pour sa force. Et au plus grand malheur de la femme, son père avait déjà planifier toute sa vie dès l'instant où elle était née. Elle avait déjà essayé d'aller contre sa volonté en devenant pirate, mais se dernier l'avait retrouvé et emmener de force avec lui. Elle se retrouvait piéger, piéger dans se destin horrible que lui offrait son paternel, comme une mouche à l'instinct aventurier se retrouvant coincé dans une toile d'araignée et sachant déjà comment elle allait mourir.

C'était donc devant cette porte immense que la jeune femme voyait le piège se refermer, plus aucune issue était offerte à elle. Son souffle était irrégulier, ses mains tremblante et ses yeux humide par le fatalité de sa vie. Elle rêvait d'être libre, de vivre comme bon lui semblait, mais une force bien plus puissante qu'elle le lui empêchait. Elle voulait s'effondrer, pleurer comme une enfant en espérant qu'on prenne pitié d'elle. Si elle le pouvait elle se serrait déjà enfuie, le plus loin possible de cet homme qui l'attendait derrière cette porte qui lui permettait de repousser se moment fatidique.

Jamais elle n'avait été croyante, et pourtant, dans sa tête elle faisait appel à une force divine pouvant venir la sauver. Si se Dieux existait vraiment alors il viendrait, il viendrait sauver cette pauvre femme.

-Avance, on a pas que ça à faire.

Son père la pressait, ennuyé de tout se temps perdu à réfléchir, pour lui aussi cela semblait évident, sa fille allait se marier!

Il pris alors les devant et ouvris, au plus grand malheur de Y/n, se seul mur lui donnant l'espoir pouvoir vivre libre un jours. C'était fini, la jeune femme était condamné, plus rien ne la séparait de son destin prédessiner. Elle pouvait voir cet homme, qui allait devenir son mari, la regarder comme une simple chose lui permettant de monter en grade plus facilement. Était-ce tout se qu'elle était? Un simple objet sans importance depuis son enfance? Non, elle avait déjà été vue et jugé à sa juste valeur. Ses amis avec qui elle a navigué sur les mer de Grand line jusqu'au nouveau monde, eux la considérait différemment. Avec eux elle se sentait à sa place et libre, libre de pouvoir choisir sa destinée.

Mais tout cela était fini, tous se temps de joie et d'aventure partagé avec eux était désormais du passé. Elle ne pouvait ne pas penser à eux en montant ses interminables marches qui la ramenait à la réalité. Cette réalité bien trop amère à son goûts. Cela s'opposait assez bien avec la douceur sucré de ses pensées qui divaguais à travers ses souvenirs. Elle revoyait ses moment passé avec ses amis à rigoler et se chamailler sur le pont. Ses moments où il partait au combat sans réfléchir à rien, si se n'est gagner. Elle revoyait aussi le doux sourire que lui faisait son amant lorsqu'ils étaient seul. Cet homme si fort et charismatique qu'elle aimait tant. Cette tête de cactus...

Qu'allait elle devenir sans eux, sans lui. Pourrait-elle continuer à vivre sans cette joie infini qu'ils lui procurait.

Puis elle recroisa le regard de se marine avide de pouvoir et pourri jusqu'à l'os. Il la dégoutait au plus haut point. Son sourire reflétant ses dents noircies par les cigarette, ses yeux sans aucun intérêt, ses cheveux bientôt inexistant et son physique disgracieux, tout cela lui donnait envie de vomir. Elle allait épouser cette vermine. Elle qui rêvait de mariage formidable avec son escrimeur, elle se retrouvait devant un homme repoussant et qui en avait rien à faire d'elle.

Qu'avait elle fait pour mérité sa! Elle avait toujours été correcte avec tout le monde, complimentant même cette vielle dame semblable à une momie qu'elle croisait régulièrement avant. Et pourtant elle se retrouvait là, devant cet homme, à écouter le prêtre parler de fidélité et d'amour infini. Qu'elle ironie. Puis ses derniers mots vinrent frapper la femme.

-Si quelqu'un souhaite s'opposer à se mariage qu'il le dise maintenant ou se taise à jamais!

C'était la fin, plus rien ne pouvais la sauver. Elle en était résigner. Elle allait supporter cet homme toute sa vie. Elle devra jouer la bonne petite femme au foyer et renoncer à ses rêves d'aventure qui lui était si précieux.

Puis un grands bruit sourd si fit entendre, la prote en bois qui lui était si chère vola en éclat. Que diable se passait il? Ses prières c'était elle fait entendre?

-Y/N-CHÉRIE!!! TON CHEVALIER SERVANT VIENS TE SAUVER!

-Tais-toi espèce d'abrutis, elle est déjà à moi! Je t'interdis de la toucher!

-Y/N! Nous voilà!!!

La femme n'y croyais pas, Sanji, Zoro et Luffy venaient de faire irruption dans la pièce. Et tous ça pour elle. Des larmes vinrent perler à ses yeux, floutant sa vision.

-Zoro, Sanji, Luffy! Venez me sauver! Je vous en supplie!

Ses jambes avait lâcher, elle se retrouvait genoux au sol à supplier ses amis de venir la sauver. Elle qui c'était résigner à vivre avec eux. Les voilà devant elle à se battre contre les marines présent dans la pièce pour lui venir en aide.

-T'en fais pas Y/n! On va venir te sortir de la! Tu es des nôtres après tout!

Le jeune tireur au long nez venait lui aussi de faire son entrée, suivit de tout le reste de l'équipage. Tous étaient à présent là pour elle, et seulement pour elle. Pourquoi avait elle tant douter alors qu'elle savait que ses amis étaient incroyable. Pourquoi n'avait elle pas pensé à cette possibilité, ses amis de l'abandonneraient pas, pas comme sa.

Le jeune sabreur s'avança alors vers son amante, sachant que les autres s'occuperait des ennemis. La prenant dans ses bras d'une douceur lui étant inconnu il pouvait désormais la sentir auprès de lui. Elle lui avait tant manqué, il avait cru la perdre à jamais, qu'il ne pourrait plus jamais la revoir et la prendre ainsi dans ses bras. Mais heureusement ils étaient arrivés à temps, quelques minutes de plus et c'était la fin, elle aurait été contrainte de se marier avec un autre que lui, et cela le répugnait. Il ne voulait pas être séparé de sa bien aimé, elle lui était trop chère.

-Merci Zoro, merci d'être venu.

La femme peinait à parler, sa voix étant étouffer par ses sanglots de soulagement. Elle l'avait retrouvé, elle avait retourné son amoureux, celui pour qui le terme amour infini allait à merveille. Celui avec qui elle voulait vraiment passer sa vie, à le chérir dans la vie comme dans la mort. Celui qui représentait tout pour elle.

-Chut, je suis là, ne pleure plus. Tu es libre maintenant.

-Je t'aime tellement Zoro, j'ai cru que tout était fini. Si tu savais comme j'allais mal en montant ses marches.

-C'est fini, on est là. Désormais la prochaine fois que tu monteras ses marches se serra moi qui t'attendrais en haut. Pas un abrutis de la marine, mais moi. Je te le promet.