Dans l'emprise des ombres, où le temps s'enfuit,
Il y a un murmure, un rappel à voir,
Memento Mori, l'ancien décret,
Un appel à embrasser la mortalité.
Dans la jeunesse vibrante, on danse et on joue,
Baigné de soleil, bouquet de vie,
Mais au milieu des rires, une vérité domine,
Pour chaque âme, il vient un jour.
Oh, Mortel, cesse ta poursuite sans fin,
Arrête tes pas, vois ta grâce,
De poussière en poussière, nous nous embrassons tous,
Un moment fugace, dans la grande course de la vie.
Les mains du destin, elles guident doucement,
Avec des moments fugaces, ils coïncident,
Les sables du temps glissent pour toujours,
Memento Mori, laisse-le résider.
Dans la brise d'automne, quand les feuilles descendent,
Un hymne solennel, au doux mélange de la vie,
Le soleil déclinant, un message à envoyer,
Souviens-toi de la mort, mon cher ami.
Laisse les chagrins approfondir le puits de la sagesse,
À l'heure la plus sombre, la vraie lumière peut habiter,
À travers les épreuves rencontrées, nous arrivons à dire,
De la fragilité de la vie, nous la connaissons si bien.
Memento Mori, disent les précurseurs,
Sous l'emprise de la beauté, nous dansons et nous balançons,
Car à la fin, nous devons tous pondre,
Dans le berceau de la nature, où les rêves se décomposent.
Alors chéris chaque souffle fugace,
Embrasses la joie, conquéres la profondeur,
Car dans nos cœurs repose la connaissance,
Memento Mori, l'épreuve éternelle de la vie.
Dans les souvenirs détenus, les défunts résident,
Leur présence s'attarde, à nos côtés,
Memento Mori, réprimandent leurs voix,
Pour vivre avec un but, ne laisses pas le temps se cacher.
Alors, tiens compte de ce verset, avec un humble plaidoyer,
Embrasses la vérité, libères ton esprit,
Memento Mori, un appel à être,
Vivant dans la mort pour l'éternité.