Point de vue de Watson
Nous sommes France depuis seulement une semaine et mon détective est déjà appelé pour un vol.
Je doit dire que ça me dérange, beaucoup, j'avais pour but de passer un peu de temps avec ma grosse tête sur pattes pour visiter la capitale de l'amour.Cependant depuis qu'il était sortit la veille pour se changer les idées il avait un comportement étrange. Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu Sherlock aussi soucieux, peut-être même que je ne l'est jamais vu ainsi. Dans la rue il marchait anormalement vite, ne faisait pas attention a son environnement mais aux passants qu'il regardait intensément comme si il étais à la recherche de quelqu'un. il se comporte ainsi et ça sans même m'écouter une seconde. Je le connais assez bien pour savoir qu'il ne réfléchit pas mais qu'il se torture l'esprit tel un fou à la recherche de la clé des champs. Je m'inquiète pour lui mais pas seulement, je m'inquiète pour nous car se comportement me fait affreusement pensé à Moriarti son ennemi juré actuellement mort. J'apprendrai plus tard que se n'est pas de Moriarti qu'il est question mais bien d'Arsène Lupin « le Roi de voleurs ».
C'est à notre arrivée à destination qu'il retrouva son éternel génie que j'admire tellement.
Point de vue de Sherlock
Nous voilà arrivé au Louvre. Le musée le plus visité de France, le plus protégé, celui qui regroupe une quantité d'œuvre impressionnante, celui où il y a eu un vol important. Quand l'inspecteur Tokard de Monfermeille est venu le matin même pour me demander mon aide dans un anglais approximatif je lui avais posé la question de base: Quels indices y-a-t-il? Et c'est sa réponse qui me fit prendre la décision d'aller voir sur place malgré mon envie de rester avec John pour ce voyage qui à la base était des « vacances de détente » -un concept qui m'échappe totalement.-Me voilà donc devant un mur vide, affreusement propre avec pour seul indice une lettre manuscrite signée par des initiales AL. Je commence donc mon enquête mais je suis perturbée, sa présence me perturbe. Est-ce à cause de notre visite annulée ou bien de son aire inquiet et boudeur ou bien tous simplement à cause de sa façon singulière de me regarder. Je priai les policiers français de nous laisser seul dans la pièce du vol ce qu'ils firent avec une pointe de regret. Je me positionne devant l'emplacement vide tandis que john s'approche pour lire la lettre du renégat.
A présent je ne réfléchis plus du tout à l'enquête, je profite de la présence de John Watson à mes côtés. Je ne saurais dire ce qui se passe dans ma tête mais c'est rassurant, c'est agréable. Je fit mine de me concentrer en fermant les yeux pour écouter sa respiration régulière.C'est alors qu'il se pencha vers moi et qu'il posa sa tête sur mon épaule. Je frissonne, je n'ai pas l'habitude qu'on me touche comme cela.
« Sherlock, arrêtons de faire semblant. » il chuchota cela d'une voix douce comme le miel.
« Tu as raison John » et, en lui répondant ainsi je me tournai vers lui pour l'embrasser aussi tendrement que possible. Il me renvoya mon baiser avec ardeur me remplissant de bonheur.
Nous ne fûmes dérangés que par l'entrée de l'inspecteur qui reparti tout aussi tôt.