Chapitre 8

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Je vais sur le ring, où je voit un homme, il doit être plus âgé que moi de seulement quelques années. Je le regarde, il me fait un signe de la tête pour me rapprocher, ce que j'étais en train de faire.

Salut. Dis-je en le regardant.

Tu veut faire un combat ? Me dit-t-il en me regardant sourire narquois au lèvres.

si j'ai accepté de me rapprocher, oui ? Dis-je en haussant les sourcils

Il hoche la tête puis nous nous mettons face à face, en position de combat.

Apo ? Dit un homme me coupant dans mon élan derrière mon adversaire.

Oh mon cher frère, répond mon adversaire.

Cette voix m'interpelle, je dirige mon regard vers la voix qui nous a couper.

Bordel mais c'est pas possible.

Je vous avez pas dit que je ne voulait pas vous revoir ? Dit-t-il en dirigeant son regard sur moi.

Ah donc en plus de ça, je devait faire attention à ne pas vous voir ? Je sort finalement du ring, puis passe à côté de lui

Jamais dis-je en le regardant puis continue ma route.

Il me rattrape par mon bras, ce qui me fait directement me retourner.

Ne me re dit plus jamais ça. Me dit-t-il

je continuerais. Dis-je en sortant finalement.

Je n'est même pas pu me battre a cause de ce connard de rival, il gâche toujours tout.

Mon téléphone vibre, je regarde le destinataire puis je répond.

Rejoins moi à Seattle, il faut que je te parle. Dit-t-il de l'autre côté du téléphone.

Je lui répond d'un «  ok » puis j'ouvre ma voiture et m'engouffre dedans.

Sur le chemin, j'appelle un de mes homme.

Oui cheffe ?

Un jet, dans 10 minutes il doit y être.

il ne répond pas donc je raccroche.

Je repense à ma petite sœur, je suis consciente qu'elle a besoin de moi en ce moment, mais je n'y arrive pas, je n'est pas le temps, et si je suis avec elle, ça signifie repenser à sa mort.

J'ai dit 10 minutes, sachant que je suis à environ 30 minutes..

J'appuie à fond sur la pédale, tandis que le moteur gronde, l'adrénaline monte en moi. 

Je sourit seule comme une débile, en continuant d'appuyer.

Je jette un coup d'œil à ma gauche, le paysage défile à vite allure, je passe entre les voiture tout en continuant d'aller a la même vitesse.

moins de 10 minutes plus tard, je suis devant le jet, je salue un autres de mes hommes, puis je monte a l'interieur.

13 heures se sont écoulées depuis, j'ai au moins pu travailler sur les dossiers que je doit envoyer a Olympe dans la semaine. Seul, je sort de l'avion, en sortant, un homme se rapproche de moi et me fait signe de le suivre. Arrivés dans un immense dressing, il m'adresse la parole.

— Prend ca, pour y aller. me dit-t-il en me tendant une robe noir.

Je le regarde, incertaine, puis prend la robe pour partir me changer a coté. Je l'enfile puis prend le temps de bien la detaillée du regard. Elle m'arrive a mi cuisse, le decolté est...plongeant ? très plongeant, avec des fines bretelles.

L'homme ne m'a pas donner de chaussures, donc je retourne dans la salle a cot" et en voit une centaines de paires. Mon regard bascule sur les talons YVS, un léger sourire apparait sur mon visage, un sourire que je dissimule quand l'homme re apparait. Je prend les talons puis part les enfilés.

J'aime.

Je sort d'ici puis voit une moto. A qui appartient-t-elle ?

— Excusez-moi, cette moto est a vous ? m'adressais-je a un homme qui venait de s'adosser dessus.

— Elle, non. Prenez la, j'expliquerais au propriétaire et je lui en racheterais une.

les avantages d'une cheffe.

— Merci.

Je me rapproche de la moto, une sym nhx 125 full black, j'ai le même modèle. Je grimpe sur celle-ci, met le casque puis demarre, mon remede, c'est la raison de pourquoi je fait de la moto, je ne pense plus a rien, je suis extérieure au monde, juste moi, et ma moto.

***

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