Chapitre 8

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Je me réveillais et sentais une main contre moi

Mathilde : "Tu dors ?

Je me tournais, Fabio dormait encore, je lui fit un bisous j'attrapais mon téléphone et commençais à regarder les réseaux sociaux, j'avais le coeur lourd car je savais que j'allais bientôt le quitter, je n'avais pas envie, je savais qu'on se verrais souvent mais enfin... Fabio s'éveillait enfin

Fabio : Comment vas tu mon amour ? Tu as bien dormi ?

Mathilde : J'ai pas envie de partir, je suis bien ici avec toi, je suis triste

Il me pris contre lui et me dit

Fabio : Ça va aller mon ange, on va se voir un maximum, j'ai une période de vacances là tu le sais, je viendrais te voir, ne t'inquiète pas, ne soit pas triste, aller fait moi un câlin

Je détestais ce genre de sentiments, vous savez celui où vous êtes avec la bonne personne mais que vous devez partir, le temps passe beaucoup trop vite avec cette personne.

C'est la première fois que je me sentais comme ça avec quelqu'un, moi qui suis bien souvent seule, enfin non, j'ai une meilleure amie qui s'appelle Jeanne, c'est bien ma seule véritable copine, il me tardait de rentrer chez moi juste pour lui raconter, je ne lui avais expliqué la situation que brièvement, elle mourrait d'impatience de connaitre la suite. Jeanne c'est l'opposé de moi, elle est petite, grande gueule, toujours à dire ce qu'elle pense, avec son copain ce sont de sacrés personnages, je savais qu'elle adorerait Fabio, même si elle était très réticente, elle trouvais que quelque chose n'allait pas, elle me disait de faire attention.

Fabio : à quoi tu penses mon ange ?

Mathilde : à rien, je suis juste triste, mais ça va aller je pense, je dois rentrer bientôt mes parents m'attendent, demain je rentre en France et toi tu as les essais pour la moto, comment tu te sens ? ça va mieux ?

Fabio : oui oui ça va

Mathilde : tu me mens je le sais, je le vois

Fabio : je me sens nul, je suis démotivé, ma moto n'est pas performante Mathilde, je ne peux rien faire, je te promets que j'essaye mais je n'y arrive pas, c'est peut-être moi le problème.

Je le regardais avec des gros yeux

Mathilde : c'est la première et dernière fois que je t'entends dire ça, TU N'ES PAS NUL, le problème est technique, tu le sais autant que moi et pourtant je ne comprends rien, tu te démène Fabio, pour tout, je le vois, ne doute pas de toi, essaye la moto demain et monte au créneau s'il le faut, fait toi entendre.

Fabio : tu es bien plus positive que moi

Mathilde : en même temps si je ne le suis pas tu vas être au fond du sceau, donc maintenant tu vas arrêter de douter de toi, tu vas te ressaisir et ça va aller. Je serais là pour toi moi, tu as aussi Tom et Mathilde, tu n'es pas seul, je te le promets

Il m'embrassa

Fabio : ça me fait du bien d'entendre ce genre de chose, je serais là pour toi aussi, on essayera de s'appeler tous les soirs, et si ça ne va pas tu peux m'écrire je te répondrais d'accord ?

Mathilde : oui ne t'inquiète pas, je vais prendre ma douche

Je me levais et allais prendre ma douche

Fabio : je peux venir ?

Mathilde : avec moi ? sous la douche ?

Fabio : non non courir un marathon, mais oui prendre ma douche avec toi banane

Mathilde : eh non je ne suis pas une banane

Je me mettais sur lui, et il m'embrassait

Fabio : tu es belle

Ne m'oublie pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant