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Chapter forty-four [44]

Pdv Taehyung

Yin-Song: Baisse ton arme Taehyung ça va servir à rien. Dit-il d'une voix ferme. Je me suis déjà chargé d'elle.

Tout les regards se tournent vers lui.

Je regarde Jimin méchamment puis fini par baisser mon arme avant de quitter l'hôpital en donnant l'ordre à mes hommes de ne pas me suivre.

Je démarre ma voiture une fois à l'intérieur et quite les lieux.

J'arrive devant la grande résidence et me gare en désordre avant de descendre de la voiture. Les gardes présents devant la résidence sur le point de me barrer le passage me laissent passer lorsqu'ils me reconnaissent ou peut-être parce qu'ils en ont reçu l'ordre de le faire.

Je me dirige droit vers son bureau mais arrivé devant la porte ses gardes personnelles me barrent le passage et m'indiquent une autre direction, je les défient du regard et ne bouge pas de l'endroit où je suis. Une voix que je ne connais que trop bien résonne derrière la porte les ordonnants de me laisser rentrer.

Un garde ouvre la porte et me laisse entrer avant de fermer la porte derrière moi.

L'homme: Voyez vous ça? Mon très cher fils à enfin décidé de venir me voir. Quel plaisir de te voir à nouveau Taehyung! Dit-il avec sarcasme.

Moi:Tu me l'avais jurer!

Mon père: Toujours aussi chaleureux. Dit-il calmement. De quoi parle t-ont maintenant fils.

Moi:Ne m'appelle pas comme ça!! Et tu sais très bien de quoi je parle.

Mon père: Je vais être franc avec toi Taehyung, je n'ai aucune idée de ce dont tu parles.

Je m'assois sur une chaise et le regarde droit dans les yeux.

Moi: Yuna!

Mon père: Oh! Tu me parles de ta femme? Qu'est-ce qui lui est donc arrivé, a-t-elle perdu le bébé? Demande t-il sans une once d'inquiétude.

Moi: Elle était sous ta garde.

Mon père: Justement, elle est toujours sous ma garde et c'est bien pour ça que je lui ai évité une mort bien trop précoce à mon goût.

Je fronce les sourcils.

Moi: Que veux-tu dire par là?

Mon père: Oh bon sang Taehyung. Tu me crois vraiment aussi méchant...

Moi: Tu as bien voulu me tuer un jour, alors parle.

Il souffle et écrase son mégot de cigarette dans le cendrier.

Mon père: Ah ce fameux jour... je croyais que tu étais passé à autre chose...

Moi: Tu ne crois quand même pas qu'un gosse de 15 ans pourrait un jour oublier que son propre père a déjà tenté de le tuer une fois, si?

Mon père: C'est de l'histoire ancienne. Dit-il agacé et sans une once de regret dans sa voix et même son regard.

Moi: Ça se passe toujours dans ma tête.

On reste silencieux en se défiant du regard sans pour ma part avoir l'intention de relancer cette conversation . Il souffle avant de dire:

Mon père: Comme je te le disais, j'ai évité la mort à ta femme.

Moi: Et comment tu as fais ça? Puisque tu n'a pas l'air d'avoir fait quelque chose.

Mon père: Tu oublies qui est ton père?? Je grimace en l'entente du dernier mot. J'ai fais échanger les produits, le poison et l'antidote qui devait lui être administré. Dit-il en faisant glisser un sachet transparent contenant un petit flacon de je ne sais quoi vers moi. Alors bien sûr la douleur et l'intervention des docteurs ne manqueront pas mais elle ne mourra pas.