Kirishima x Reader (Mafia)

Chapitre 13

Point de vue de Kirishima

Cela faisait cinq jours que je n'avais pas vue T/p, ok on s'envoie des messages mais sa ne change rien au fait que j'ai envie de la voir surtout depuis qu'on sait embrassé. Mais c'est derniers temps j'ai pas eu beaucoup de temps pour moi, on n'a eu pas mal de soucis avec des gangs ennemies et des clients récalcitrants à nous payer. Alors avec ça, on n'en n'a pas discuté T/p et moi, putain je ne sais même pas si je sorts avec elle. Après tout je l'ai juste embrassé, c'est moi qui est cédé le premier pas elle. Putain de merde je suis complétement perdu. Je souffla lourdement quand mon meilleur ami ce tourna légèrement vers moi pendant qu'il conduisait. 

Bakugo : Sa va pas mec ? 

Je souffla à nouveau, aujourd'hui on devait rencontré un nouveau fournisseur d'armes comme le dernier nous a pris pour des cons. Je sais que je dois rester concentré, les gens qu'on va voir sont dangereux et n'hésiterons pas à nous coller une bale dans la tête au moindre doute. Mais impossible de me sortir T/p de la tête. 

Moi : J'ai un dilemme... 

Bakugo : Quel genre ? 

Moi : J'ai embrassé T/p, mais je ne sais pas si on sort ensemble. Et quand bien même je sortirai avec elle, tu as vue ma vie Bakugo ? Je suis dans un gang, j'ai tué des gens, putain on n'a un trafic d'armes ! 

Bakugo : Je sais exactement ce que tu ressens. J'avais ces même peur avant de sortir avec ma copine. J'avais peur que ma vie dans la mafia finisse par entièrement la détruire. Mais j'ai fini par tomber fou amoureux d'elle et ne plus pouvoir m'en détacher. Et c'est ce qui est en train de t'arriver. 

Moi : Quoi ? 

Bakugo : Désolé de te l'apprendre mais tu es en train de clairement tomber amoureux d'elle. Laisse moi deviner, elle te manque et tu n'as qu'une envie c'est d'aller la voir. 

Moi : Ouais... 

Bakugo : C'est déjà trop tard pour toi, tu vas plus pouvoir te séparer d'elle ! 

Moi : En gros je vais continuer à tomber pour elle tout en flippant à ce qui pourrait lui arriver. 

Bakugo : C'est assez bien résumé. Si j'étais toi quand on n'aura fini avec notre fournisseur, va discuter avec elle, propose lui vraiment qu'elle soit ta copine. En plus tu as de la chance, T/p sais que tu es dans un gang quand j'ai rencontre ma meuf elle ne savais pas. Je l'ai pas vue pendant une semaine sans avoir la moindre nouvelle, c'était la pire semaine de ma vie et la pire douleur que j'ai vécu et pourtant je me suis fait tiré dessus ! 

Moi : Ok, j'irai discuté avec elle... Merci mec ! 

Il me sourit avant qu'il ce gare juste devant un immeuble, c'était là que notre potentiel nouveau fournisseur nous avez donné rendez-vous. Je mis de côté T/p, et toutes mes pensées la concernant, je dois être concentré pour cette mission. Les personnes que nous allions voire était un gang assez récent mais ils avaient acquis pas mal d'influence en peu de temps, ils ont clairement les yeux plus gros que le ventre. On sortit tout les deux de la voiture, on n'alla sonnait à l'interphone, on ce présenta et quatre hommes armés arrivèrent pour nous ouvrir, ils étaient tout les quatre massifs avec des armes de gros calibres, ils voulaient juste nous intimider, dommage pour eux sa ne marche pas sur nous. 

Bakugo : Emmener nous à votre chef, on n'a un rendez-vous avec lui. 

Homme 1 : Nous donne pas d'ordres petit con ! 

Bakugo : Si j'étais vous je baiserai d'un ton avec moi, je suis pas un petit joueur comme vous. 

L'un des hommes s'avança dangereusement vers Bakugo, il allait sortir son arme, je me précipita vers l'homme mon meilleur ami ne bougea pas d'un centimètre me faisant totalement confiance, j'empêcha l'homme de retirer son arme de son étui, lui donna un coup dans le ventre, il ce plia en deux sur le sol, je sortis mon arme et colla le canon sur le front de l'homme de garde. Je le vue d'un coup pâlir, il avait peur et il avait raison, un seul mouvement brusque d'un de ces amis et je tire sans la moindre hésitation. Trois armes ce braquèrent sur moi, mais notre seul réaction avec Bakugo était de sourire, ce n'était pas la première fois qu'on ce retrouve dans une telle situation. De la peur envahit nous assaillants, en même temps ils devaient pas en croiser souvent des types qui souris alors qu'ils ont des armes braquées sur la gueule.