Chapitre 3 Antonios

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TW: viole et violence

Raven

Je me réveille remarque que mes poignets sont détachés, sa signifie qu'il va passer.

Et merde.

Je me lève est vais regarder pars la fenêtré, et je vois deux voitures toute les deux des BMW série 2 mais une bleue foncer et une en noir. Je vois des gens passer devant la maison est je l'admets je suis jalouse, j'aimerais tellement avoir leur vie, si simple et sens problème, mais je suis là à me demander quand il va venir me violer.

Putain vis de merde !

Je suis si fatiguer de cette vis, que j'aimerais en finir mais je ne peux pas, non se monstre ne dois pas gagner, je dois d'abord me venger, je le ferait payer pour ce qu'il m'a fait.

Je me retournai pour rejoindre mon matelas quand j'entendis quelqu'un parler.

- Profite sens car je vais bientôt la vendre à un autre cartelle, fit la vois qui devais être Alastor.

Attend-il parle de quoi ?

- t'inquiète pas, je ne vais pas me gêner et bien m'occuper de ton oiseaux, répondit Antonios.

Mais "mon oiseaux" c'est pas le surnom qu'il me donne?

Attends quoi !?

Me vendre, mais à qui ?

Mais pourquoi moi putain ?

Chut avec t'es question, ils arrivent.

Soudainement la porte s'ouvrit sur Antonios et Alastor, ou deux gros pores. Antonios tourna la tête vers moi et me souris avec ce sourire de pervers et cette lueur lubrique dans son regard.

Ne pas le tuer.

Enfin pas maintenant...

...pas encore mais plus tard.

Il est porte un short noir avec un débardeur blanc, je lève mon regard et remarque qu'il s'est fait une teinture blonde, d'habitude il a les cheveux bruns.

Ça te va pas du tout.

- Coucou mon petit oiseau, tu es contente de me voir ? Me demanda Antonios.

- Franchement non j'aurais préféré que tu meures d'un accident de voiture plutôt que te voir, connard. Lui répondit-je en le foudroyant du regard.

- Nan, nan mon petit oiseau, il ne faut pas être vulgaire, je vais devoir te punir. Me dit-il avec un sourire en coins.

J'ai une affreuse envie de le frapper mais ça ne ferait qu'aggraver mon cas, alors je reculais par instinct jusqu'à me prendre un mur et dit :

-Salle chien de merde !

Il rigolât face à ma réaction puis Alastor qui jusqu'à-là n'avait pas pris la parole dit :

- Bon je vais vous laisser amuser vous bien ! Nous informât-il avant de partir en ferment, et cette fois j'ai remarqué, à double tour.

Antonios approcha de moi, m'agrippa le cou de sa main et avec l'autre il attrapa mon épaule. Il approcha sont visage du mien et je pouvais sentir son souffle sur mes lèvres, il essaya de m'embrasser mais je rentrai mes lèvres à l'intérieur de ma bouche et tourna la tête sur le coter. Il attrapa ma mâchoire et la sera fort avant de tourner mon visage vers le sien.

- Tu as intérêt à m'obéir si tu veux que tout se passe bien, c'est compris ! Me dit t'-il d'une voix rauque.

Je serai les dents et hocha la tête, si sa avait été Alastor je me serais mi a pleurer et aurait bégayer un << oui >> car je l'avoue j'ai peur de lui pourtant je n'ai pas peur de Antonios, enfaite je n'ais peur de pas grand-chose et surtout pas des hommes, je s'avais me défendre, mon père m'avait enseigner des technique vu qu'il était policier, mais Alastor lui me faisait peur, quand je le regardais j'avais l'impression d'être une proies, comme un petit lapin effrayer face à un renards.

Antonios retira avec entrain son short avant de retirer mon jogging, je serais les dents et regardais derrière lui, j'ai l'habitude et je sais qu'il n'y a rien à faire et qu'il vaut mieux se laisser faire et attendre qu'il finisse.

Il me pénétra brusquement, m'arrachant un cri de douleur. Il donnait des coups de reins de plus en plus fort, je commençais à saigner, je pris une grande inspiration et essaya de penser à autre chose pour faire passer cette épreuve plus vite.

Qu'es qui te rend heureuse ?

Rien...Plus rien...

Alors à quoi veut tu penser ?

Rien... A rien, je ne veux plus penser...

Antonios se mit à me malaxer mon seins droit aves sa main gauche, je voulais vomir son contacte me brulait, l'entendre grogner contre mon oreille me dégoutais. Je veux qu'il en finisse et vite s'il vous plait.

-Gémis.M'ordonnât-il. GEMIS PUTAIN !

Je me sentais faible et je détestais cette sensation, cet homme m'équerrait. Mais au lieu de pleurer et de m'apitoyer sur mon sort, une vague de colère déferla en moi.

Prisse d'un élan de courage je commençai à me débattre en le repoussent, mais mon corp faible à cause du peu d'aliments que j'ai ingurgiter ces derniers temps, n'arrivait pas à grands chose.

Il resserra sa pris sur mon corp et accentua c'est coup de rein, mais je continuais de me débattre en le repoussent. En voyant que ça ne servait à rien je lui acéra un crochet du droit en plein dans l'estomac avec le peu de force qu'il me restait.

Il poussa un juron en reculent la main sur son ventre, il releva la tête et me regarda droit dans les yeux, s'il pouvait me tuer avec ces yeux je serais déjà enterrée six pieds sous terre.

Il s'approcha dangereusement de moi et, consciente que j'allais devoir me battre, j'enjamba mon jogging et me mis en position de combat. Mais mes jambes commençaient à me faire mal et à trembler, alors quand il arriva à ma hauteur et leva la main je concentra toute ma force dans mon poing droit et lui mis un crochet, ce qui le projeta au sol.

Putain, c'est moi qui ai fait ça ?

Je m'écroula au sol en espèrent l'avoir assommer car j'était beaucoup trop faible pour pouvoir continuer ce combat. Mais je le vis se relever quelque seconde plus tard avec cette rage encrer dans son regard. Il s'approcha lentement.

- Tu n'ai qu'une garce. Me cracha-t-il au visage.

- Et toi qu'un connards sal types, tellement que personne ne veut de toi que tu es obligé de violer, lui répondit-je pour le provoquer.

Meuf, tu es clairement en mauvaise position, fait pas trop la maligne.

Je souris fière de moi, pendent que lui sera la mâchoire en me lançant un regard noir, il m'assena d'un coup de pieds dans la rate se que me projeta au mur derrière moi. Ma tête cogna contre le mur, me provoquent un mal de tête, mes yeux commençais à papillonner et je me sentais partir.

Je ne fuirais plus jamais, même si sa fait mal, je ne fuirais plus, non je me défendrais.

Et un jour Antonios, je te tuerais de mes propres mains.

C'est une promesse...

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Slt, vous allez bien ?

déjà je m'excuse pour les fautes d'orthographe, ensuite.

Se chapitre a été très dur a écrire donc il est pas ouf mais j'espère que vous avez aimer.

Dans le chapitre 4 on va faire une autre rencontre, j'ai hâte de publier l'autre chapitre.

Bref je vous laisse.

Bisous !!! 💗

Mia Dolcer smeraldoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant