On aurait dit deux fous

12 2 0
                                    

MYLA MILKOVICH

08/10/2007
19h57

Je rentrais chez moi carton en main, épuisée de cette dure journée. Je tapait et sonnais à répétition à la porte d'entrée afin que mon frère vienne m'ouvrir. Quand la porte s'ouvrit enfin j'aperçu un visage qui m'étais inconnu. C'était un garçon qui était plutôt bel homme, je me dois de l'avouer mais qui ne ressemblais en aucun cas à mon frère.
Ah. J'avais sonné chez le voisin.

??? : C'est pour ?

Myla : Désolé je me suis trompé de maison.

??? : Tu sonnes souvent comme une malade
chez toi ? Et je ne t'ai jamais vue ici, t'es d'où ?

Myla : Alors déjà bonjour et on aura peut-être l'occasion de parlait une autre fois là j'ai encore des cartons à ranger désolée du dérangement.

??? : À la prochaine alors.

Je me suis empressée de sonner à la bonne porte cette fois si. Mon frère était surpris de me voir le rouge au joue alors que j'étais juste sensée ramener le dernier carton.

??? : Oula t'as fait quoi encore ?

Myla : Je t'expliquerais après Liam juste laisse moi rentrer avant que je me liquéfie sur place.

Il me laissa enfin rentrer avant de m'inonder de questions une fois la porte fermée.

Liam : Raconte meuf t'as causé la troisième guerre mondiale ? Nan je sais, un séisme.

Je lui montra mon majeur avant de lui raconter ce qui est sans doute l'une des pire hontes de ma vie.

Myla : J'étais en train de rentrer et j'étais un poil énervée à cause de la fatigue, donc il se pourrais que j'ai tambouriner la porte du voisin au lieu de la notre.

Il partie dans un fou rire incontrôlable et j'avoue qu'un petit rictus s'est formé sur mon visage avant que j'explose de rire à mon tour.
Nan mais sérieusement, on aurait dit deux fous.

Myla : Tais-toi Liam par pitié j'vais me pisser dessus là !

À mon plus grand soulagement, nous nous sommes calmés avant qu'il ne m'aide à mettre le carton dans le salon. Tout de même c'était la moindre des choses après avoir fais exploser ma vessie.

Liam : Nan mais sérieux meuf si ton premier jour commence comme ça on est pas sortie de l'auberge.

Myla : Oui bah ça va hein, bref viens on commande un truc à bouffer j'ai faim.

Liam : Pourquoi pas j'ai super envie d'une pizza, pas toi ?

Myla : Si pourquoi pas. Appelle par contre j'ai passer la journée à porter des cartons.

Il saisit le téléphone l'air un peu agacé et passa un coup de fil qui dura à peine 5min.
On s'était affalé tel deux larves échouée sur le seul meuble de la pièce, c'est-à-dire le canapé. On attendait désespérément notre pizza en mourant de faim, ça m'attriste de le dire mais on fait vraiment pitié là.

Liam : T'as rien d'autre a me raconter sœurette ?

Myla : J'pense que niveau histoire cheloue on est bon pour la semaine là.

Un petit rire lui échappa.

Liam : Pas faux.

Tu parles oui je m'étais carrément affiché devant mon nouveau voisin j'ai envie de m'enterrer six pieds sous terre et encore le mot est faible.

Myla : D'ailleurs temps que j'y pense faut remplir les formulaires d'inscriptions pour le lycée mec.

Liam : Ah oui c'est vrai encore et toujours de la paperasse, heureusement que c'est pas nous qui payons les impôts.

La sonnerie avait retentit, ce qui n'avait clairement pas manqué de m'arracher les tympans. Nom de Zeus elle est affreuse cette sonnerie.
Liam était aller chercher les pizzas pendant que je fixais le plafond.

Liam : Ils sont rapides ici.

Myla : Je ne te le fais pas dire, par contre faudra qu'on mange sur le sol on a pas de table.

Liam : Ah bah super.

La journée s'acheva enfin ce qui ne manqua pas de nous ravir puisse que nous étions complètement épuisés par cette journée infernale. Nous sommes tous les deux parties nous coucher le corps infesté courbatures toutes plus douloureuses les unes que les autres. Cette fois si je n'ai vraiment pas eu de mal à m'endormir.

TOM KAULITZ

08/10/2007
19h57

J'étais tranquillement assis sur mon canapé avec Bill avant que quelqu'un sonne comme un timbré à ma porte.

Tom : Fais chier ça doit être des fans ou des journalistes, bouge pas j'arrive.

Bill : Ça marche bonne mort frangin.

Je me dirigea vers la porte bien préparée à gueuler sur des journalistes ou des groupies.

J'ouvris la porte et quelle fut ma surprise quand j'ai vu une fille à peu près de mon âge porté un carton plus grand que mon avenir.

Tom : C'est pour ?

Myla : Désolé je me suis trompé de maison.

Ça doit être une nouvelle voisine, elle est plutôt canon.

Tom : Tu sonnes souvent comme une malade chez toi ? Et je ne t'ai jamais vue ici, t'es d'où ?

Myla : Alors déjà bonjour et on aura peut-être l'occasion de parlait une autre fois là j'ai encore des cartons à ranger désolée du dérangement.

Tom : À la prochaine alors.

Mais qu'est-ce que c'était que cette interaction sociale enfin.

Cette chanson.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant