LE FILS DE MON PATRON 1
FAITH est une jeune orpheline de père et de mère qui a dû quitter la campagne pour la ville pour faire l'université grâce à sa bourse obtenue compte tenu de sa bravoure et son intelligence. Tout se passe bien au début jusqu'à sa soudaine rencontre avec HENRY BECKER le fils de son patron qui décide de lui mener la vie très dure.
___AU PENSIONNAT___
- ne me sous-estime pas Tina (a dit FAITH)
-tina: et oui mais ça se voit que tu es une folle.
-Hahahaha
-nancy: les filles regardez
(En les montrant des garçons qui passaient)
-tina: ils se prennent vraiment pour les rois de ce Pensionnat.
-ce sont des enfants gâtés par leur parents, les gosses de riches se croient tout permis
-henry: qu'as-tu dis?
(A t-il avancé après avoir écouté ce qu'elle a dit)
-tina: viens FAITH on s'en va
-henry : elle reste là et vous dégagez avant que je ne vous donne votre dose
-nancy: FAITH....
- restez à l'écart les filles.
(Elles sont allées rester où les autres étudiants se trouvaient)
-henry : tu as peur de répéter petite ?
-pourquoi aurais-je peur de toi? Ce que j'ai avancé à propos de tes amis et toi est clair
-henry : hahahaha, vous suivez les gars, elle a du répondant la meuf
-phil: donne-lui une bonne leçon
-j'ai assez assez perdu du temps avec vous, je vais vous laisser jacasser entre vous
(Elle a voulu s'en aller mais il l'a arrêté)
-henry : je n'ai pas fini de parler
-j'en ai rien à foudre, alors lâche-moi
Il lui a appliqué une bonne paire de gifle et elle s'est retrouvée au sol. Elle s'est mise à regarder à côté et il y'avait plusieurs étudiants, mince quelle honte.Soudainement, une forte pluie a commencé et elle était toujours au sol et ne disait rien, Henry s'est accroupi devant elle.
-henry : je ne comptais pas en arriver là mais tu me l'a forcé petite idiote et pour te donner une leçon pour ton manque de respect,je ne vais pas m'arrêter là.
Il s'est approché de son cousin naref et lui a chuchoté quelque chose. Quelque minutes après être parti, il est revenu avec une tasse de café.
-naref: tiens Henry
-henry : il fait vraiment froid et tu vas sûrement tomber malade , alors tu dois te réchauffer.
Il lui a tendu la main comme s'il voulait la relever , quand elle lui a donné son bras, il l'a saisi et a renversé le café sur son poignet droit.
-Ahhhhhhhh
(elle a fortement fermé les yeux en criant de douleur mais a pu empêcher ses larmes de couler. Déjà même si elle pleurait, la pluie allait empêcher qu'on voit ses larmes)
-henry : ça fait mal? Ah non, j'ai cru te faire du bien mais je crois que non.
-ses amis: hahahaha quelle cruche.