Les minutes passent après qu'on ce soit révélé nos sentiments de manière enivrer.
« Pour pouvoir t'aimé, tu dois m'aimer ».
Une fois l'étape franchit que fait t-on, ensuite ?
Nous nous ignorons au yeux de tous alors que l'un d'entre nous voudrais le criée sur les toits: « Je t'aime à m'en rendre malade ».
J'ai l'impression de redevenir cette bête fragile qui avait réussi à être haineuse. Pourquoi nous mettre « des bâtons dans les roues » ?
Je commençais à ouvrir chaque étages de mon ascenseur émotionnel, cependant, les portes en acier se batte pour ce fermé. Je suis plus forte qu'un bout de métal, mais, si tu ne me tiens pas, je vais me rouillé.
Pour oublier « l'impossible », je m'endors sur le même lit sur lequel j'ai versé de multiples larmes pour toi.
Quand mes paupières s'ouvrent, elles savent que ce qu'elles ont vu dans l'illusion d'une nuit, n'est pas réel.
Cela me rajoute des couteaux dans le dos et encore plus ; quand je te revois me prendre dans tes bras dans ce rêve qui est un cauchemar « incompréhensible ».
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Des pensés
PoesiaLa poésie est une pensés. Des pensées déballer dans ces poèmes. Des instants qui dure que quelques secondes peuvent causés plus d'impact que les minutes d'un sablier appartenant à une vie. L'importance est comment la plaie c'est faite, au lieu, de...