Au Delà De Mes Rêves Tome 1 [EN COURS]

Chapitre 1

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Bref, je me dépêche à procéder ma routine matinale, qui se résume : douche, brosser les dents, m’habiller et me voilà prête, je sors de ma chambre se faufile dans celle de ma mère. Étant fille unique d’une mère célibataire, notre habitacle se restreint à quelque pièces, c’est petit mais chez nous.

- "Maman, t’es réveillé ?  "

Celle-ci se tient juste devant sa table à coiffeuse, déjà prête.

   - "Bien sûr et depuis longtemps jeune fille." Fît sa voix bienveillante ; "Comment pourrais-je m’attardé au lit alors que c’est le départ de mon bébé."

Ma mère en haut de ses 1m65 est un bout de femme très vivifiante, attentionné et stricte à la fois. Des cheveux noir, des courbes qui vous donne envie de l’enlacer tellement elle est à croquer, un visage ronde dépourvu de ride mais il ne faut surtout pas l’irriter si vous ne voulez pas que sa fourbe vous culbute en pleine face, derrière ses air bienveillante se cache une frimousse pire que Teddy l’ourson. Sa clémence a des limites. Elle va vous laisser au seuille du traumatisme si on prend le risque de l'énérver. Et ça, je vous le déconseil.

Je minaude de sa remarque. Oui, c’est mon départ aujourd’hui. C’est le grand jour, je vais m’envoler de mes propres ailes. Mon indépendance commence une fois mes pieds pop l’aéroport.

Et le revoilà ma compagne la boule au ventre, elle s’est voué fidélité à ma personne ma parole....

Nous allons à la cuisine, ma génitrice et moi pour abreuver notre faim. Les autres ne tarderont pas à débarquer. La moitié de mes proches tiennent à m’accompagner à l’embarcation ; ça me fait plaisir de les voir fiers de moi, disant que ça amplifie mon égo. Je me sens vénéré.

J’ai une personnalité plutôt.... qui ne se contente pas de ce que j’ai mais je revendique encore plus; voilà mon plus grand défaut, je m’y force de s’écarter d’elle mais celle-ci se plâtre à mon être.

D’un coup, des pétarades se fait entendre dans notre salon et des têtes familiers infiltre notre petite cuisine. Ce vacarme n’est d’autre que mes cousines, celles -ci foncent directement sur moi et me coupe l’appétit.

- « Comment se sent la start du jours ? Questionna mon ainé.

- « Elle pète la forme. Répliquais-je en rigolant.

Elles me regardent envieuse mais qui ne quitteraient en aucun cas notre  patrie natale pour rien au monde, il faut dire qu’il y que moi qui rêve de découvrir de nouvelle culture, origine, baigné dans l’inconnu.
Trouillarde mais désireuse.

- "Mais plus sérieusement Joyce, comment s’est la sensation de déloger notre tendre grande île ? Genre partir loin de chez nous quoi." Redemande la plus jeune.

En vérité, il y a deux émotions qui me saisisse en ce moment, la peur et l’excitation. Et pour une fois depuis ses trois derniers jours c’est la joie et l’excitation qui s’étend dans mon être, je me sens si exulter, mes durs labeur a enfin fleuri et s’accroit pour me donner ses belles résultats. Je toise Stéphanie des yeux en souriant.

- "Honnêtement, j’ai peur et très heureuse à la fois. C’est une des étapes qui conduira vers mon but ultime. Déclarais-je.

Ma mère me fixe avec fierté, je ferais tout pour garder ce regard, cette admiration qui ne cesse de me soulever, ce regard de bénédiction."

Le reste de la famille arrive enfin, j’accède de nouveau ma chambre et prend mes trois énorme valises que j’ai emballé la veille. Je vérifie si je n’ai rien oublié et mes yeux se concentre de nouveau à ma petite chambre, je laisse un souffle et des paroles étouffé et sors de celle-ci. Tu vas me manquer.

Nous voilà en route pour l’aéroport d’Ivato, Ma tante Michou m’évoque sans relâche.

- " Tu n’as rien oublié, t’es sûr ?"

Cette question se répète en boucle depuis qu’on a entamé la route, je ne cesse de lui répondre que non je n’ai rien oublié et que tout est OK. J’ai l’impression qu’elle veut me forcer à dire que ouais, j’avais bien oublié un truc.

Arriver à destination, moi et ma mère délaissent les autres et pars enregistrer mes bagages, une fois fait, je discute une dernière fois avec ma famille en attendant l’avertissement au vol.

Un timbre féminin interrompe notre discussions.

- « Voilà c’est l’heure. » Disait ma tante les larmes aux yeux.

Oh non, pas ça s’il vous plait. Je vais me dégonflé à la dernière minute.

_ « Oui, vous allez tous me manquer. » Je sanglote en les enlaçant dans mes bras.

Ma génitrice me sert si fort dans ses bras.

- « Fait attention à toi mon bébé, ne tombe pas malade et souviens toi de tes origines. Je te fais confiance ma fille. »

- « Ne t’inquiète pas maman, je suis une grande fille, tu n’as plus à t’en faire. Tu vas beaucoup me manquer. »  Susurrais-je à son égard.

C’est vraiment difficile, je le prévoyais mais je ne me suis pas rendu compte à quelle point s’en ai plus que prévus, elle qui n’avait jamais laissé sa fille partir loin d’elle, même de près, alors que là je vais faire des bornes à des centaines de kilomètres. Notre séparation fût bouleversante.
Je desserts notre étreintes et les regarde, attristé de les quitter. Je souffla un bon coup et décampa dans un dernier regard.

Je vous aimes tous.

« A notre retrouvaille Madagascar. »

~

Me voilà embarquer dans mon deuxième vol, qui va me conduire vers le pays de mes rêves. Je m’enfonce sur mon siège, cherchant une position plus confortable tellement mon arrière train paie le prix fort. J'ai pris celui-ci il y a quelque heures plus tôt.

Mon corps cri lassitude et d’épuisement. L’opacité de la nuit croule sur moi tel un pavot mordant, assommant yeux, qui fixe les astres chatoyant de la nuit en dehors de la petite baie vitré. Je remonte ma petite couverture jusqu’à mon menton en me protégeant  de la fraîcheur de la nuit. Dire qu'il faisait grave froid, contrairement à Mada. Les écouteurs dans les oreilles, je sombre dans l’abyssal des songes en écoutant «  Butterfly » des BTS mon groupe favorite.

Voilà la vrai chapitre 1.
Je suis tellement désolé pour la confusion mais j'ai entamé ma réécriture. Comme vous voyez rien à changer -pour les anciens lecteurs-.
Pour ce qui sont des nouveaux lecteur(trice)s, j'espère que l'histoire vous plaira.

Cordialement.
Votre auteure.