CHAPITRE 4

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- Adam je crois qu'on a un problème...

-Quoi ?

Il eut à peine le temps de répondre qu'un coup de feu retentit venant percuter la voiture. Il n'a pas fait beaucoup de dégâts et nous sommes bientôt arrivés alors Adam accélère drastiquement. Nous appelons Walter pour qu'il prépare les hommes à tirer si ils nous suivent. Je peux voir que Adam est relativement paniqué ce qui n'est pas commun venant de lui, lui qui arrive toujours à garder son sang froid.

- Prends à gauche ! L'alertai-je, s'ils nous suivent cela sera plus simple pour nos hommes de les faire exploser! Continuai-je avec une pointe d'humour pour détendre l'atmosphère et surtout Adam, mais rien à faire, il fit ce que je lui ai dit mais semblait complètement perdu dans ses pensées, comme s'il avait excessivement peur, non même il était terrorisé.

Les portes de l'immense garage à voitures s'ouvrirent et une centaine d'hommes en sortirent. Nous garons la voiture et allons voir les arrestations de ces hommes qui devaient probablement voire sûrement être les totallys spies de rouges.

Putain ils vont nous faire chier jusqu'au bout ceux-là!

Ils sortirent tous un à un. À leur vu, Walter se décomposa, comme une sorte de frustration et de peur.

- Comme on se retrouve Louis ! Hurla le chef de ce gang, un grand brun d'environ quarante ans, vêtu, lui, d'un costume d'un noir si profond, qu'il faisait ressortir son teint pâle à merveille.

Walter rétorqua alors:

- Que viens tu faire ici Armando, si loin de Los Angeles !

- Fais-moi donc monter dans ton bureau nous serons beaucoup plus alaises pour discuter de l'erreur qu'on fait nos infiltrés .

Sur ces mots, Walter l'invita à monter dans son bureau via les marches de l'intérieur du garage.

Armando se retourna et m'adressais ces derniers mots tout en regardant d'un air menaçant les hommes qui étaient présents à cette soirée:

- Petite garde les quatre petits écervelés qui servent de descendants à cette famille avant que je ne leur arrache les yeux un à un, ce serait gentil de ta part, finit-il en m'offrant un sourire à en glacer le sang.



-pfff c'est long, ils comptent parler encore longtemps Zig et Sharko là ! Commença Léo allongé sur le canapé de la salle de repos.

Il est vrai que cela fait longtemps que les deux chefs sont enfermés dans ce bureau .Il était à présent trois heures du matin.

- J'en sais rien, peut-être encore une heure, avança Adam.

- QUOI! Hurlèrent Léo et Louisa, j'espère que tu rigoles, continua la fille.

S'en suivit une liste de raison pour laquelle on en serait pas là de la part de Diego.

« Tu n'avais qu'à pas t'interposer »

« Je suis sûr que si tu nous avais laisser faire »

« Et je suis sûr que...

- Oh ta gueule, finis-je par extérioriser.

Adam pouffa de rire tout comme Louisa et Léo.

Quand à lui... Marco... l'homme aux yeux vairons, ne bougea pas de la chaise où il se trouvait depuis maintenant deux heures. Comme les heures précédentes, il passa celle-ci à me fixer et à me détailler du haut de mon corps au bas de celui-ci.

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 30 ⏰

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