Psychologie

V. Rencontre

J'ouvris le petit bout de papier et lu :
"C'etait la premiere etape, maintenant tu sais que je suis bien réel. Je suis pareil que toi, impenetrable. Je serais ce soir à l'arbre mort. T.H"
Perturbée je decida d'ecourter ma journée de cours afin de rentrer chez moi. Ce que je fis donc !
[...]
Le soir-meme, j'avais presque oublié le message m'etant concentré uniquement sur mes cours. J'avais quand meme regardé T.H ,Ces inisiales mysterieuse mais n'avais rien trouvé. Enfin, Je me vetue donc d'une tenue confortble et chaude, cacha plusieurs couteaux au cas ou les choses tournerait mal et parti en direction de l'arbre mort, en haut de la petite colline. Comme je m'y attendais il n'y avait personne. Je m'assis donc en tailleur et attendis. Une eternel attente, Et c'est lorsque j'allais m'assoupir que j'entendis quelqu'un juste derrière moi.
Je me retournais en susautant et j'entendis un rire ettoufé provenant du visage de mon intelocuteur. J'esperais qu'il ne remarquerais pas les couteaux dissimulés dans mes vetements mais il dit :
"Pose ses couteaux a terre ils ne seront pas utiles."
Je m'executais sans un bruit en les deposant a terre.
"Tous. Celui dans ta bautes aussi"
Comment l'avait il vus ! Pensais-je en ragant !
Mais deja il enchaînait :
" Ho, je ne les ai pas vus. Mais ce n'est pas pour ça que je suis là"

" Pourquoi donc alors ? " Dis-je d'une voix nette. En fait je ne me sentais pas bien du tout et je crus que j'allais m'evanouir plusieurs fois. Mais je ne voulais absolument pas lui montrer. Pourtant mon mal-etre grandissait : J'avais l'impression que l'on executait une pression extraordinaire sur mon cerveau, Il me devenait de plus en plus difficile de tenir et c'est alors que je lacha prise. Une immense douleur m'envahit la poitrine et le coeur. Je m'evanouis en entandant un rire roque ...
[...]
Point de vue T...? H...?
Ca y est, c'est qu'elle etait tenace cette fille. Jamais personne n'avait tenu ainsi, elle s'etait enfin evanouis. Je la pris delicatement enfin le plus delicatement que je pouvais en tout cas et l'emmena.

Point de vue Heroïne
Je me reveilla dans une petite cabane en bois ... Un mak de crane immmmense. Le garcon etait la assis. Il me regardais. Et puis il dit quelque chose ... Ca ke glaissait le sang :
"Enfin réveillé Marion"

Marion ... mais comment connaisait-il mon prenom ?

A suivre !