18• Si vous vous disputez

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Yuji Itadori

៚. Il t'avait dit pour son exécution.
Tu étais évidemment au courant pour Sukuna, mais il ne t'avais jamais dit qu'un jour il allait devoir mourir. Et cela te brisas le cœur. Surtout de le voir prendre cela pour une farce.

<<Tu es en train de me dire que l'homme que j'aime est condamné et ça te fait rire ?!

-J'essaie... de voir ça différemment...pour ne pas sombrer...>>

Tu étais en larmes et tandis que, dans un sourire, il essayait de te réconforter, ton cœur avait lâché et tu étais partie sans rien dire.

<<Si l'homme que j'aime doit mourir, je ne veux pas être la quand ça arrivera.>>

Il avait vu cela comme un abandon et toi, tu essayais de préserver ton cœur du chagrin.

Megumi Fushiguro

៚. Tu avais entendu parlé de Tsumiki par Nobara et tu étais triste qu'il ne t'en ai pas parlé de lui même. Tu avais donc forcé maladroitement et il s'était rapidement énervé.

<<Ça te regardes pas. Mêle toi de tes affaires.

-Quoi ? Mais... si on est ensemble ce qui te concerne me concerne aussi...>>

Il n'avait rien dit mais toi, les larmes aux yeux, tu étais partie. Sa phrase et sa froideur t'avaient fait beaucoup de peine et ton cœur était serré.

Nobara Kugisaki

៚. Elle t'avait fait une nouvelle remarque sur ton physique. Elle ne disais pas ça pour te faire de peine mais plus pour pouvoir trouver des tenues adéquates. Mais c'était la remarque de trop. Cela commençait à te faire de la peine.

<<Bon, quand tu auras fini de le faire comprendre que je n'ai pas le corps d'une mannequin russe, on pourra recommencer à se voir.>>

Tu étais partie, la laissant seule dans l'incompréhension. Elle s'était alors énervée toute seule en te reprochant d'innombrables choses. C'est seulement après tout avoir raconté à Yuji que celui-ci lui aura fait comprendre ce qui t'avais blessé. Elle s'était alors sentie idiote et s'en était beaucoup voulue.

Satoru Gojo

៚. Cet abrutit avait dragué une bonne femme.
Tu l'avais chopé en train de lancer des regards séducteurs dans le bar de ton père a une cliente qui passait par la. Elle portait une sublime robe bleue. Il lui avait offert un sourire craquant et tu avais vrillé.

<<Ça va ? Tu veux de l'aide ?

-Non ça va...

-Pauvre con.>>

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