Suis-je insignifiante ? 2.

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Rue :

Le ciel était couvert et gris faisant de cette ruelle l'obscurité total. Un courant d'air frais me faisait frémir. J'avais dans mes écouteurs un son qui jumelai parfaitement bien avec mon humeur.
J'étais triste, comme je l'avais toujours été,
parfois je ne l'était pas mais se n'était que le fruit de mon illusion, je pensais être heureuse parce que  quelques sourires mon aveuglé et mon fait oublier tout mes problèmes et tout mon désespoir pour cette vie la.

Mon regard se posait sur le ciel, et je me rappeler de cette citation  :

« Le jour où le ciel est gris, le soleil n'a pas disparu à tout jamais. »

Elle veux dire que meme si le ciel est totalement couvert laissant à dépourvu l'obscurité le soleil ne disparaissait pas. Il se cachait derrière les nuages.

Elle me faisait penser à..

[ Flashback ]

- Pourquoi pas Jawhar ? Tu es une humaine comme une autre, et tu a besoin de se bonheur pour vivre..

Moi : Alors pourquoi je suis malheureuse et je vie Zay' ?

- Parce que tu vie de tristesse, mais derrière toute cette tristesse, ce cache ton bonheur il faut juste que tu le trouve Jaw !

[ Fin Du Flashback]

Arrivée au pied de mon immeuble, j'ouvre la porte principale puis monte les escaliers jusqu'au domicile de Zaydan et moi.

Je n'avais même pas besoin de sortir mes clés puisque la porte était déverrouillé.

Je pénètre dans l'appartement, mon regard se pose sur Zaydan, affalé sur le canapé avec un paquet de chips à la main.

Cette scène suffit pour me remplir d'agacement.

Je n'aime pas le voir comme ça, même si c'est rien, sa m'agace.

Moi : Tu aurais quand même pu fermer la porte à clé non ?

- Orh qu'est-ce que ta ?

Je ne répond rien et je soupire de mécontentement puis je me dirige vers ma chambre. J'enlève mes chaussures et jettes mes affaires par terre puis je saute sur mon lit.

J'ai toujours eu un comportement « aigrie ».

Une fois sur mon lit j'etait tellement épuisés que je me suis endormie directement.

Quelques heures plus tard.

Le feu s'agrandissait de plus en plus et moi je ne pouvais rien faire..

je regardais, j'était témoin de l'atrocité de la scène qui s'offrait à moi.

Je ne comprenais rien, j'essaye tant bien que mal d'hurler, de chercher de l'aide, mais en vain.

Cette fois si personne ne t'aidera Jawhar..

moi : papa ? maman ?

J'attendais désespérément une réponse de leurs part, je savais pertinemment que leurs corps était réduit en cendre dans cette voiture..

Quelques heures plus tôt..

Il faisais nuit et la pluie recouvrait la route, nous roulions paisiblement jusqu'à ce que la voiture dérape a cause de la pluie.

Oú se cache le bonheur ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant