Fifty Shades Of Bug (Parodie)

Chapitre 4

Je me réveille dans une chambre toute moisie. C'est un motel trop pourri. Mais je fous quoi ici ?

Jean-Claude entre et je fais pipi culotte. Ah merde, j'avais déjà fait pipi dans la nuit. Le lit est tout mouillé.

— Wesh Gertrude ! Ça farte ?

— Mais ouais trop ! Grave !

Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde.

C'EST BON ! ON A COMPRIS ! me hurle ma conscience à la con.

— Mais sinon je fous quoi ?

— Je suis tellement beau que tu es tombée dans mes bras.

Mouais, ça semble logique. J'approuve cette version des faits.

— T'as mangé meuf ?

— Bah je viens de me réveiller ! Comment tu voulais que je mange ?

— Alors, il faut manger. Mais d'abord, la douche. Je suis égoïste, j'y vais avant toi.

Il va à la douche pendant que je me fais chier. Je regarde mes mains. Elles sont moches mes mains.

Puis je vois un cafard trainer et je saute sur le lit en craint.

— BEURK ! AH MON DIEU ! OUIN ! J'AI PEUR !

Le cafard finit par partir. C'est cool maintenant.

Jean-Claude sort de la douche à moitié à poil. Il est beau. Surtout à poil.

— Va à la douche grognasse !

Il me jette dans la salle de bains. Ça fait mal. Mais ça fait du bien.

Puis je finis rapidement parce qu'on s'en fout d'être propre. Wha y'a des fringues pour moi sur le lit ! Je les mets, ils sont un peu grand mais pas grave.

J'arrive dans la cuisine. Le petit-déjeuner ce sont des brocolis. AH BEURK !

— On mange, m'ordonne-t-il.

— Mais c'est dégueulasse !

Non, je ne devais pas dire ça. Après il ne voudra plus de moi. Ouin ! Pourquoi je suis aussi conne ?

Mais il est beau quand même. Très beau même.

— Alors on mangera mieux après avoir parcouru des milliers de kilomètres en hélicoptère pour rien !

Il me fait un clin d'œil à travers ses lunettes de soleil. Il est beau.

— Mais d'abord, tu rentres chez toi !

Je me casse la gueule. Il m'aide à me relever puis on se casse dans l'ascenseur. Mais le motel est tout vieux, tout pourri donc il ne marche pas. On reste quand même comme des cons à attendre.

Je ne dis rien. Il ne dit rien. Je ne dis rien. Il ne dit rien. Je ne dis rien. Il ne dit rien. Je ne dis rien. Il ne dit rien. Je ne dis rien. Il ne dit rien. Je ne dis rien. Il ne dit rien. Je ne dis rien. Il ne dit rien. Je ne dis rien. Il ne dit rien.

— Je suis en chaleur, dit-il.

Il m'embrasse. C'est cool. C'est bon. Il est beau. Je mouille.

— En fait, l'ascenseur marche pas, annoncé-je.

— Oups !

On part de l'ascenseur et on descend les dix étages. Il est beau quand il marche. Je mate. Je me casse la gueule. Ça fait mal, je pleure. OUIN !

***

Vous voulez savoir si je suis encore en vie dans le chapitre suivant ? Votez, commentez !

Pff... Pauvre conne, t'es obligée de supplier des votes et des commentaires ! Tu me fais pitié ! crie ma conscience la salope.

J'étrangle ma conscience.

***

PS : J'espère que vous avez compris que c'était de l'humour au-dessus hein ? ;) En plus on s'en fout tous de la vie de Gertrude Aluminiume. :)