Soudainement, je m'échappe de la voiture.
— Hé Jean-Claude ! Je suis pas morte !
Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde.
Il est beau.
Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde. Il me regarde. Je le regarde.
Puis il se met à jouer de la cornemuse et je mouille. Beau gosse. Comment pouvait-il savoir que la cornemuse m'excitait autant ?
Le chauffeur de la voiture descend et je me rends compte que c'est Bernard.
— Oh mais Bernard ! Tu foutais quoi ici ?— J'achetais du pain !
Il balance le pain par terre qui tombe dans une flaque de boue.
— Qui veut une tartine de boue ? demande-t-il.
Il est con. Mais je l'aime bien. Mais il est con quand même.
Jean-Claude s'approche de Bernard et lui fout un pain dans la gueule. Puis après un vrai pain. Ah mais c'est chiant que ce soit le même mot ! Personne comprend plus rien ! Je dois faire un commentaire composé pour tout expliquer !
— Tu es moche alors tu n'as plus le droit de t'approcher trop de Gégé ! hurle mon Jean-Claude d'amour.
Bernard tombe par terre et commence à manger le pain.
— Trop bien ! Y'a même des cailloux en plus ! Meilleur que Subway !
Jean-Claude me prend de force (non pas dans le sens sexuel bande de gros dégueulasses) et me ramène chez lui.
— Hé ! Et si je me trouve un travail ? demandé-je, passant du coq à l'âne.
Jean-Claude fait le ménage, habillé en soubrette.
— T'as dit quoi ?
— J'ai dit que je voulais trouver un travail.
— T'as dit quoi ?
— Travail ! Moi ! Travailler ! hurlé-je.
— T'as dit quoi ?
Je coupe l'aspirateur. C'est trop propre par là.
— T'as dit quoi ?
— On mange chinois ?
— Mais grave !
Jean-Claude met Bernard dans le four.
— Mais Bernard n'est pas chinois ! riposté-je.
— C'est parce que je suis noir c'est ça ? lance Bernard depuis le four en train de cramer.
— Mais t'es pas noir Bernard !
— Ah pardon, s'excuse-t-il. Vous pouvez me tuer alors. Je sers vraiment à rien dans cette parodie.
Jean-Claude balance du charbon sur Bernard.
— J'ai toujours rêvé d'une cheminée, me confesse-t-il.
— Moi aussi, répliqué-je.
— Et moi j'ai toujours rêvé d'être une cheminée, réplique Bernard.
— Les cheminées ça parle pas ! s'écrie Jean-Claude en donnant des coups de pied à notre nouvelle cheminée.
Puis avec Jean-Claude, on regarde le ciel étoilé. C'est beau.
Une étoile nous regarde. On la regarde. Elle nous regarde. On la regarde. Elle nous regarde. On la regarde. Elle nous regarde. On la regarde. Elle nous regarde. On la regarde.
— Je vous ai vus bande de fils de pute, crache-t-elle.
Puis elle s'en va en mode "étoile filante". Oh la salope !
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Eh oui ! Je fais des bonus ! Pourquoi ? Juste pour foutre la merde et parce que c'est bien de rire, surtout qu'on en a tous besoin. ;)
D'autres bonus seront bientôt en ligne alors soyez attentifs. ;)
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Fifty Shades Of Bug (Parodie)
Fanfiction*** Parodie de Cinquantes Nuances de Grey *** C'est l'histoire d'une fille un peu conne, Gertrude Aluminiume, une étudiante, qui interview Jean-Claude Bug, un mec qui a une entreprise. Elle le trouve beau, mais elle pense que c'est impossible entr...