Lorelei Blackwoods

chapitre XVIII

On était au quai et on parlait, quand Ginny arrive avec les jumeaux.

Fred : dit moi tu n'aurais pas avoir avec les cris d'une certaine ambrune

Moi : hein pas compris

Georges : euh comment dire une personne à dormir avec nous la semaine dernière au terrier sauf maman Bas c'est une mère elle a mis cette personne dans la chambre de Ginny

Ginny : ok viens avec moi

Elle me prend la main et m'emmène plus loin

Ginny : Hermione

Moi : bah quoi Hermione

Ginny : vraiment

Moi : oh tu parle de sa j'ai rien fait je te le promets pas contre toi tu va avoir droit à un joli cadeau mais sa serais de la triche non

Ginny : tu as fait quoi ?

Moi : j'étais invitée dans le manoir Malefoy j'ai vu une ancienne amies et j'ai trouvé un livre très intéressant qui permet de grâce à la voix de commande le corps de la personne en gros de

Ginny : non je veux rien entendre d'avantage c'est quoi le sort

Je lui dit et elle va voir les autres et je sens une personne m'appelle dans le train et j'en souris d'avance

Moi : je vais dans le train on se rejoint

Les autres confirment et je dis au revoir à ma mère. Je rentre dans le train et suis  le lien qui est muni à cette personne. Et la retrouve facilement dans un compartiment interdit aux élèves.

Moi : je ne savais pas aussi

Hermione : ferme là

Elle m'embrasse et je lui réponds et la plaque à la porte

Moi : tu me veux c'est ça mais moi est ce que j'ai envie de toi

Hermione : ce que je tiens le confirme en tout cas

Moi : et toi je vois que toi aussi regarde mes doigts dégouline

Elle gémit et je rentre en elle

Moi : putain ses si serré je me demande si je vais pouvoir rentrer.

Hermione : prends moi

Moi : et que va dire ton copain

Je la vois exister mais elle sort mon membre et me fait rentrer dans sa chaleur qui m'enlace.

On se regarde et tout bascule nos magies fusionnent  et je sens en elle un Dragon dont nos yeux deviennent or et nos créatures prennent le contrôle de nos corps. Et je m'enfuis encore en elle dans une cadence ou ses ongles entre moi et du sang en sort.

Moi : par merlin

Elle me regarde et je déchire son chemisier et j'embrasse son cou et lui laisse une marque au niveau de sa poitrine.

Hermione : Lorelei

Moi : tu veux vraiment jouir ma p'tite nympho

Elle me griffe le dos

Moi : fais attention mais putain dit moi mais ce que tu as aimé

Elle gémit quand je lui donne un coup de butoir

Hermione : j'ai besoin

Moi : de quoi dit le moi

Hermione : ....... de jouir

Moi : alors dit l'eu ou je m'en vais

Hermione : ténébros

Je m'enlève d'elle qu'elle gémis de frustration mais je la retourne et lui lèche son entrée qu'elle gémit dans sa main

Moi P : je te l'avais dit non pense à moi entre t'es jambes

Son dos se courbe du a son orgasme qui  viens de se déclencher. Je remonte derrière son dos et frotte mon membre a son fessier

Moi : maintenant

Elle me pousse et je vois une forme de Dragon sur sa poitrine qui descend son ventre jusqu'à son aine que je dévore de mes yeux.

Hermione : qu'est-ce que tu m'a fait ?

Moi : c'est plutôt toi c'est toi qui m'a rendu comme ça c'est toi qui m'a rendu aussi ... Je la regarde... Dominante en la prenant sauvage qu'elle subit mes coup de butoir et je l'embrasse pour que personne ne l'entend. Elle cri dans ma bouche et je me déverse en elle.

Hermione : merde encore

Moi : un problème maîtresse

Ses parois m'enlace et en la culbute encore que son corps se tend et qu'elle se tiens au mur comme elle peut.

Moi : je vais encore venir maîtresse dit moi oui

Elle gémit et acquiesce

Moi : je veux l'entendre

Hermione : déverse toi en moi

Je m'approche de son corps que nos deux corps sont dans un angle droit parfait mes mains viennent de chaque côté prendre les siennes et les emmène vers le haut et je viens en elle, nos respiration sans sifflante et haletante quand je la mord violamment son cou épaule qu'elle se cambre de plaisir du a sa jouissance et a la mienne qui rentre en elle j'accompagne ses surbresaults

Moi : bonne baby girl daddy est très fière de toi

Je me retire d'elle et des nouveaux vêtements apparaîssent.

Elle me regarde

Moi : tu devrais te changé on va bientôt arriver baby girl

Elle utilise sa propre magie pour faire venir son uniforme sur elle

Moi : dit moi baby girl tu veux que daddy te prenne encore

Hermione : daddy non mes ténébros pourquoi pas mais Lorelei elle va devoir attendre

Moi : oh ne t'inquiètes pas Lorelei est très satisfaite je me lève mon doigt et disparaît devant elle pour me retrouver dans les toilettes prêt des cabinets des serpentards.

Je sors et va retrouver nos amis

Draco : putain tu étais où ?

Moi : mes fans du connais pas

Blaise : a ce point

Moi : ouai c'était intéressant mais là non

Ginny : ta pas vu Hermione

Moi : je les vu mais elle m'a ignoré complément

Pansy : tête aussi Têtu

Moi : laisse là elle reviendra à la raison ou pas

On rigole et le train s'arrête.on se lève et on entend une dispute assez violente qu'on va voir.

Hermione : osé la toucher et je te castre

Dana était derrière elle et en face Ron et Dean qui lève les mains.

Moi : a ce que je vois mon intervention de fin novembre n'a pas été entendue tenfold pain silencio

Il s'écroule à terre en hurlant mais aucun son ne sort..je m'approche

Moi : je savais que les Griffondors étaient des douillées mais la sa se confirme ses la moitié de ma douleur de tout les jours et d'une certaine prisonniers échapper mais elle ses dix fois pire.

Neville : tu parle de cette personne elle a tué mais parents

Moi : non ils sont juste plongés dans leur pire culpabilité et j'avoue ses bienfaits pour eux car si il était vivant j'aurais fait la même chose qu'ils ont fait à deux nourrissons qui avait à peine 2 mois et qui non pas eu le temps de voir la vie

Neville : tu ment c'est une meurtrière

Moi : oh j'ai passé 12 ans avec elle ses souvenirs son les miens Legilimancie

Il hurle, de déchirement de voir les personnes qui admire être des vrais monstres il me supplie d'arrêter.

Moi : mais Neville Bellatrix Black l'a eu pendant plus de 12 ans elle personne la arrêté pour elle. Et toi ? Tu veux que je le fasse.

Neville : pitié