Chapitre 1

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C'était la nuit, dehors il pleuvait comme jamais. Il y avait un orage, les arbres criaient, les feuilles tournaient autour, le vent sortait des bruits, on aurait dit des humains qui criaient. J'étais assise sur mon fauteuil tranquillement, je regardais par la fenêtre qui était au point de se briser, je lisais mon livre sur la légende du Moyen Age, la légende disait qu'à cette époque beaucoup d'humains, d'enfants avaient disparu à causes de ses vieilles femmes maléfiques...

Je dois aller à sa visite aujourd'hui, il pleut mais je dois y aller et puis un parapluie me suffira. Je sortais de ma maison habillée en noir avec un bouquet de roses rouges ; je marchais vers la voiture quand tout à coup je sentis comme une main sur mon épaule, je me retournai d'un coup et je vis ma grand-mère qui me tendait un croissant, car je n'avais pas déjeuné. Depuis des années je vis avec ma grand-mère, mes parents se sont suicidés suite à une maladie de folie, dont je ne sais le nom. 

Je pris le croissant en lui souriant, et je montai dans la voiture ; je me souviens que je n'avais que quatre ans, après la mort de mes parents ma grand-mère me racontait des histoires de sorcière avant de dormir la nuit. Elle me disait qu'elles étaient des créatures affreuses, maléfiques, qu'elles avaient des pactes avec le diable...                                                        Un jour, elle m'a racontée que des proches de notre famille avaient disparu à cette époque, et que l'on ne les avait pas retrouvés... Ma grand-mère était une vieille femme très cultivée à ce propos, elle l'avait vécue...                                                                                                                                  Je descendis de la voiture avec mon parapluie et mon bouquet, je marchais vers le cimetière qui me regardait de loin, le vent soufflait à travers mes cheveux, les enfants pleuraient sur la tombe de leurs parents... J'arrivais à sa tombe, je laissais mes fleurs dessus, et soudain je vis plus personnes dans le cimetière ; j'eu un frisson d'un coup comme si quelqu'un était derrière moi, et toucher à mes cheveux... Je me levais en sursautant, mais il n'y avait ni personne ni autre...

Je fis mes prières, et je repartis avec suspect et peur...

Une histoire noireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant