Je tiens a préciser que ce texte est purement expérimentale et que je le depublierais dans peu de temps.
Désolé pour les fautes d'orthographe.
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Il était assis par terre, dans sa chambre, enfermé dans une profonde solitude, dans un noir profond légèrement éclairé par une petite lampe de bureau. Il fixait, le regard vide, cette chose infâme qui lui avait causé toutes ses immondes coupures sur l'entièreté de son corps. Son corps se vidant lentement de chaque goût de sang qu'il possédait. Sous ses yeux rouges et gonflés, se trouvent des cernes prononcés et des traces de larmes et de sang qui commencent à sécher. La noirceur qui le poursuivait tous les jours avait fini par le dévorer tout en entier, le faisant sombrer dans un désespoir sans fin. Il détourna enfin le regard et prit son téléphone pour écrire cette courte phrase : "Je t'aimerais à jamais".
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Il ne se doutait de rien. Sortant tranquillement du lycée, satisfait de sa journée, il était accompagné de ses amis et prévoyait de sortir boire un coup avant de rentrer. Il prend alors le bus afin de se rendre dans un bar, il ne buvait pas d'alcool et se contentait de boire des sodas, quand il entendit son téléphone sonner, il regarda la notification, son cœur rata un battement. Il prit ses affaires le plus rapidement qu'il le pouvait et partit en courant ne prévenant même pas ses amis, il réussit à attraper un bus à temps, complètement paniqué. Une fois le bus arrêté, il couru, le plus vite qu'il le pouvait, il arriva devant cette immense maison, ouvrit la porte violemment, et monta les escaliers en courant, manquant de se ramasser plusieurs fois. La maison etait plongé dans le noir, il ouvrit la porte de la chambre a la volé et y trouva la raison de sa soudaine panique, à terre, entouré de son propre sang. Il courut auprès de lui, il respirait toujours, il le prit dans ses bras et le serra jusqu'à presque l'étouffer. Il sentit alors des bras le serrer à son tour avec une force presque inexistante et un murmure lui parvint aux oreilles : "reste avec moi...". Ce fut ses derniers mots.
(04/07/23)
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Random"La noirceur qui le poursuivait tous les jours avait fini par le dévorer tout en entier"
