quand l'attraction entre deux d'entre eux se fait trop forte, on la justifie piètrement.
c'est la puberté, sans filles autour on se rabat sur le premier corps chaud aux alentours.
pourtant il n'y a qu'eux qui sentent le besoin de se jeter dans les bras d'un autre garçon. on se donne quand même raison. la vérité effraie mais le mensonge est une prison dorée.
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les dortoirs des garçons
Short Storyquand les garçons de pensionnat jurent que si ils se rejoignent dans leur lit, c'est seulement parce qu'il fait trop froid [short story ; 07.23]