- P r o l o g u e -

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Sur une balançoire, dans une parc non loin de chez moi, de la musique qui me résonne dans les oreilles à travers mes écouteurs, je ne peux m'empêcher de songer à la vie, à ma vie, aux personnes qui m'entourent, aux relations entre chacun d'entre eux...

Être un humain, c'est jouer à un jeu. Un jeu dangereux, dont chaque joueur dispose de ses propres règles. Comme voir dans le reflet d'un miroir une créature dont nous essayons d'imiter les gestes. Ou jouer une partie de poker, en pensent que toute les personnes sont des alliés pour qu'au final toute cette gentillesse ne soit qu'un coup de bluff afin de seulement s'approprier tous vos biens.

C'est comme se trouver au-dessus d'un vide sans fin sur un simple file. Sans retour en arrière, obligé d'avancer, avancer alors qu'après chaque pas cela devient plus difficile de continuer. Chaque pas est plus amer et plus pénible que le précédent. C'est au moment où une lueur d'espoir apprêt et que vous pensez que ce calvaire est enfin terminé que l'on vous vole une partie de vous et qu'on vous pousse à l'origine de se file. Ce film qui se déroule encore et encore et ceci indéfiniment. Bien que ce processus soit le même pour une grande majorité de la population, la fin change en fonction de certaine personne. Certain décideront de continuer d'avancer indéfiniment sans jamais apprendre de leur erreur en pensent que cela va changer un jour, d'autre décide aussi de continuer d'avancer mais en devenant de plus en plus méfiant et incrédule. Ces personne garde la force de continuer malgré les difficultés en se persuadant qu'au final cela se terminera peut-être un jour. Alors que d'autre n'ont plus cette force et décide de s'aventurer dans se vide sans fin et s'y perde a tout jamais...

Moi je fais partie de quel catégorie de personne ?

Aucune d'entre elle, je suis une des très rare personne qui on décider de ne plus du tout avancer, même si cette lueur d'espoir nous tend la main tellement fort que c'est limite si elle nous force à la prendre, qu'on la repousse à chaque fois et tentant de l'oublier tant bien que mal. Moi j'ai décidé de rester à ma place et attendre qu'avec le manque de force se soit se vide qui m'entrent au fond de lui afin que moi aussi je m'y perde a tout jamais.

Complètement perdu dans mes pensées j'en oublie où je me trouve et la notion du temps. Je regarde sur mon téléphone et il est actuellement 23h42. Je me dépêche de rentrer chez moi avant que mon père aillent se coucher et s'aperçoivent de ma petite sortie nocturne.

Je pénètre discrètement dans ma chambre à travers ma fenêtre. J'ai de la chance que ma chambre se trouve au rai de chaussé, ce qui facilite grandement mes escapades nocturne.

Je décide de prendre une douche avant d'aller me coucher. J'ai de la veine de posséder une assez grande chambre, mes parents ont donc fais le choix d'y ajouter une mini salle de bain. Je me déshabille, et y entre.

Je coupe l'eau et m'enroule dans une serviette, me sèche et m'habille d'un simple short large, je décide de rester torse nue car il fait déjà assez chaud. Je me brosse les dents et me glisse dans mes draps alors que je règle mon réveil sur mon téléphone. Je l'étain et fixe mon plafond en songeant une dernière fois à ma vie et les choix sur mon avenir que je vais devoir effectuer dans peu de temps. Ne voulant pas m'endormir sur des penser négative je décide de penser à la personne qui compte le plus pour moi, c'est à dire ma petite sœur. Je repense a des souvenirs que j'ai avec elle et c'est avec le sourire au lèvre que je tombe dans les bras de Morphée.

My lucky starOù les histoires vivent. Découvrez maintenant