poème n°3

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On m'a toujours dit que
Les filtres étaient nocifs
Je n'ai, malgré tout, pas voulu le croire
Parce que mon filtre à moi,
Ne sortait pas de mon portable
Non, vous vous trompez
Et pourtant qu'elle a été mon désarroi
Quand, ses effets mon paru
Comme identique
Pourquoi, soudain, la simple hypothèse de me regarder sans l'apercevoir dans le reflet, me coupa la respiration faisant passer les battements de mon coeur, pour des traîtres à mon état physique ?

recueil de poèmes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant