Le recueil d'une valse embellie

Adieu mio tesoro

un tabouret,
Ce malheureux bonheur toqua
Très peu de temps pour ramasser les papiers car voilà qu'il entra

Me demandant comment j'allais il ne vit pas,
l'arme que j'avais disposé juste derrière moi
je ne voulais pas tuer
ni lui ni moi

ce fut l'effroi
je ne peux pas la laisser la elle a besoin de moi
quand j'entrais dans sa chambre appartement 183
je n'avais pas prévu de la voir accrocher là

elle me surnommait le joyeux effroi
pour elle je n'étais que de passage comme à chaque fois
elle n'avait pas prévu que je reste là ça c'est certain
mais sa devise c'était que le bonheur appartenait aux plus opportuns
elle ne l'a pas eu sans doute
l'opportunité qui lui aurait permis de finir la route

je ne pourrais pas être là
te voir cette fois ci je ne pourrais pas
Tu es partie mais ton âme elle est restée là
je suis l'horrible joie qui n'attendais que toi

Le tic tac de ma montre sonne faux
peut-être que l'aiguille raisonne contre le carreau
le temps passe et j'attends l'arrivée de la fauche
les jours sont tous les mêmes j'ai arrêter de compter les proses

Demain recommencera une nouvelle route
Celle de l'infini ou du fini j'en ai le doute
Ce qui est certain c'est que j'ai barrer ta route
Au bonheur j'ai cru et voilà ce que ça me coûte
De là haut tu ne me verras pas
et d'en bas tu prieras pour que je revienne à toi

Demain sera une nouvelle histoire
la mienne ou la tienne a toi de voir
Ce malheureux bonheur j'ai bien envie d'y croire
comme tu l'as dit il n'y a que les benêts pour ne pas le vouloir
alors pour toi j'irais tracer notre route
celle qui ne mènera qu'au chemin de l'infini ou du fini sans doute
sache juste que je t'aime et que ce joyeux malheur est tienne.