𝗳𝗼𝗿𝗲𝘃𝗲𝗿 𝗮𝗻𝗱 𝗲𝘃𝗲𝗿 𝗶 𝘄𝗶𝗹𝗹 𝗹𝗼𝘃𝗲 𝘆𝗼𝘂 / 𝗲𝘂𝗽𝗵𝗼𝗿𝗶𝗮

01. avion

Je regarde les paysages défilés devant mes yeux.

Ça fait sept heures que je suis assis dans l'avion, direction Los Angeles.

Mes parents son décédé y a bien plus de quatre mois je crois, fin j'ai arrêté de compter depuis.

Ducoup je fais vivre chez ma tante, désormais

Je ne la connais pas trop. J'ai dû la voir deux, trois fois quand j'étais petite.

A ce que on m'a raconté c'est la sœur à ma mère, elle a perdu ces deux enfants et son mari dans un accident de voiture. Son mari avait trop bu et un chevreuil à travers la route il a tourné le guidon et paf.

Apparemment elle ne s'en n'ait jamais vraiment remis.

Donc comme je disais avant, direction Los Angeles, je suis ravie je ne connais personne, je n'ai pas de repères, là rentré est dans trois semaines.

Au départ de l'avion J'ai remarqué que j'étais seul dans ma ranger, puis un homme d'une cinquantaine d'année ou peut être moins, c'est assis à côté de moi.

Au début il parler pas, ce qui était bien d'ailleurs.

Dans le reflet de la vitre je peux voir qu'il avait les cheveux gris mais pas énormément.

Il me terrifier quand même, avec son regard que je posé sur ma poitrine assez fréquemment.

- Bonjour mademoiselle. Lança-t-il.

Je ne répondis rien.

Comme il a vu que je ne dis rien il m'examina, et puis il a posé une main sur ma cuisse.

- Ne crie pas.

Je pouvais entendre mon cœur battre de peur.

Mais il est malade !

Qu'est-ce qu'il fait ?!

Un sentiment de paralysie pris possession de moi.

Je n'ai même pas eu le temps de réagir qu'un jeune homme roux âgé d'une vingtaine année je pense, débarqua et le pris part le col, le plaqua au mur, et lui cria de dégager.

Des hôtesses de l'aire arrivèrent pour intervenir.

Une fois l'homme partir l'autre l'homme revient.

- désolé ça va ? Dit-il

- euh oui, oui ça va.

- je le connais très bien ce mec, c'est le père d'un connard. M'informa-t-il

- d'accord.

- tu va où ? à Los Angeles ? Me demanda-t-il

- oui.

- tu sais se n'ai pas un interrogatoire, t'est pas obligé de répond comme un robot.

Cette remarque me fait rire, j'essaya de le dissimuler en me pinçant les lèvres.

- oui je sais. Dis-je avec une voix de robot.

Ça le fait rire.

Après ça le silence se fut entendu jusqu'à la fin du trajet.

En sortant du train je revue mon "sauveur " donc je suis allé le voir pour le remercier car je crois que je ne l'ai pas fait.

Et après un mec, fin un gamin arriva et me dévisagea.

- Merci pour tout a l'heure je ne t'ai pas remercié

- Derrien il n'y a pas de quoi c'était normal.

- bon aurevoir ! Lui dis-je avec une vois de robot.

Il rit.

Et puis je m'éloignai.

Ma tante m'a dit de la rejoindre à la sortie du parking, elle m'a aussi informé qu'elle avait une petite voiture bleue assez vieille, qu'on pouvez reconnaître facilement au bruit du moteur.

Donc je ne fu pas surpris de la trouver directe à la sortie de l'aéroport.

Quand j'ouvrir la porte du véhicule, elle fut surprise de me voir.

- salut jeune fille, je pensée que tu arrivais dans une demie heure !

Elle l'ouvrir le coffre, mis mes valises, et je suis monté devant.

- nan derrière jeune fille ! Dit-elle avec le sourire en coin.

Je fus ce qu'elle m'ordonna, elle démarra la voiture et on s'éloigna du parking.

Le long du petit trajet régnié un silence, non de gêne mais de réconfort.

Quand elle a appris la mort de mes parents, elle....

Nan enfaîte je ne sais pas comment elle a réagi.

Bref en arrivant devant la maison, je ne fus pas surpris de découvrir une petite maison clichée des baraques d'Amérique.

Une petite maison blanche pas très spacieuse avec un petit jardin vert.

La baraque je fus surpris de découvrir un chien à mes pieds.

Ohhh que t'est beau toi !

Ma tante est arrivée derrière moi, elle pose ou plus jette mes valises au sol, avant de dire :

- il s'appelle Ahou.

- oh c'est mignon !

- c'est ma fille qui l'avait choisi.

- OK, il a quelle age ?

- oh ma chérie, il doit bien avoir 11 ans.

- ohh mais c'est qu'il n'est pas bien jeune le petit ! Dis-je en m'adressant au chien.

Pour toute réponse il me lécha le visage.