𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝟽

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Lorsque nous arrivons, je n'ai plus les mots. Je suis muette et mon regard se pose sur la maison. Elle est juste immense, mais sa grandeur n'égale pas sa beauté. Si je devais la décrire en trois mots se serait: Grande, carré et noir. On dirait que plusieurs carrés on était placer aléatoirement les uns sur les autres. Au sol, il y en aurais 4 et 3 en haut. Je ne sais pas qui la designer ou imaginer mais elle est tous simplement sublime. Quelques lumières sont allumée à l'extérieur comme si...je suis couper par la voix d'Hugo qui discute avec les quelques gardes poster devant avant que le portail s'ouvre et nous accédons à une putain de baraque. Je ne peux m'empêcher de regarder par la fenêtre tellement c'est beau. Il y a déjà une très grande place avant d'approcher la maison. C'est carrément une villa, de couleur sombre dont les tons noirs et bruns. Il y a énormément de baie vitrée mais je ne distingue absolument rien à l'intérieur, ce doit être des vitres teintées. Elle est d'ailleurs pas mal isolée de la ville. Je vois Hugo s'approcher d'une immense entrer, d'un garage souterrain. Et lorsque nous y entrons, je suis totalement sous le choc. Le nombre incalculable de voitures, la taille du souterrain, l'aménagement, les voitures ranger les unes à côté des autres, et j'aperçois aussi des motos. On dirait le paradis des voitures sur terre. Il se dirige vers le fond et se gare. Quand je suis enfin sur mes jambes je n'en reviens pas. Je n'imaginais jamais me retrouver autour d'autant de voitures. J'ai envie de toutes les essayer sans exception avec les motos aussi. Mes yeux pétillent littéralement.

J'entends Hugo ricaner face à mon regard choqué et émerveillé. Je rigole alors légèrement aussi tend je n'en reviens pas. J'observe qu'entre certaines voitures il y a des trous. Je devine alors qu'ils en manquent mais je ne le relève pas. Au bout de quelques minutes je parviens enfin à articuler quelque chose.

- Ne me dis pas que tout ça c'est à toi parce que sinon je te tue. Je lui lance un regard appuyé attendant ça réponse avec impatience mais elle ne vient pas.

Il se contante de récupérer mes affaires. Et de me faire un signe de tête pour que je le suive.

- Aller suis-moi minha bêla.

Je le suis mais je continue tout de même de regarder afin de ne rien oublier. Je retiens quelques marques: Maserati, Pagani, Lotus, Bugatti, Lamborghini, McLaren et encore d'autres. Il y en tellement que je ne peux pas les compter, avec tellement de couleur aussi !! Même si le noir règne, c'est une évidence. Je veux vivre dans ce garage.

Nous passons une porte, un couloir contenant d'autres porte ainsi que des escaliers et au bout de ceux-ci nous mettons dans les pieds dans un salon avec un plafond extrêmement haut. Il y a des baies vitrées presque partout, je me sens toute petite face à ça. Un peu plus loin j'aperçois la cuisine totalement noire en marbre. J'ai même pas les mots. Hugo lui m'est sans ne rien dire.

- C'est magnifique. Qui ? Enfin tu n'as pas fait ça tout seul ? Je me tourne vers lui. Lui dis-je avec de gros yeux. J'ai toujours adoré l'architecture je ne peux donc m'empêcher de lui poser des questions.

- Ça te dit qu'on en parle demain ? Je suis crevée la. Il croise les bras. Suis-moi je te montre ta chambre pour la nuit.

Je le suis sans broncher, j'ai hâte de voir où il m'emmène. On monte des escaliers en marbre éclairé par des petites lumières sur chaque marche. Au deuxième étage il me précise qu'il n'y a que des chambres ainsi que des salles de bains. Je continue de le suivre et il ouvre enfin une porte.

- Voici ta chambre et ta salle de bain est juste la. Me dit-il en déposant mes affaires sur le lit.

Étonnamment la chambre est plutôt solaire. Les draps sont blancs, ainsi que les décorations. Dans les tons beiges, la salle de bain et tout aussi incroyable: une douche à l'italienne, une double vasque bref le rêve si je puis dire. Ma chambre au loft n'est pas aussi grande. J'aperçois même un dressing dans la chambre. En y repensant il n'était vraiment pas obligé de faire tout ça. Je me sens obligé de le remercier encore une fois.

Rouge écarlateOù les histoires vivent. Découvrez maintenant