Chapitre 11 ~Lettre~

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Coucou ma petite fourmi.Je sais c'est bizarre que je t'écrive une lettre , très bizarre même alors conserve la bien car c'est la première et dernière que tu auras !Si je t'écris c'est parce que je ne peux pas te le dire en face . Mais ne t'inquiète pas ce n'est pas de ta faute et ce n'est pas non plus de peur que je ne te le dit pas en face.Je t'ai expliqué l'autre jour que je suis une sorte de super héros représentant notre école et que si un jour je venais à disparaître pendant longtemps, il ne fallait pas t'inquiéter car je serais en train de sauver le monde. Et bien je t'ai menti, enfin pas entièrement car en vérité je suis envoyer en mission pour aider les forces de l'ordre dans des missions délicatesPourquoi moi ? Car comme tu le sais, je n'ai plus de parents donc si un jour je venais à disparaître, ça ne serrai pas grave. 


Du moins pour la directrice.

Pourquoi je te parle de ça. Et bien venons en au fait. Quand il y a des réunions entre les professeurs, la principale ou même des fois avec des représentants de l'ordre, j'aime bien allé écouter pour être au courant des derniers ragots ou même de mes prochaines missions afin de mieux me préparer. Et j'ai donc entendue la principale parler à ses "toutous" enfin ceux qui la suivent partout, que, depuis ton arriver un danger planerais au dessus de l'école. Et ils trouve que quand je suis en ta compagnie, je change. Mais le plus grave c'est qu'ils pensent que nous sommes tout les deux un réel danger depuis que nous nous connaissons . À mon avis, ils préparent un plan pour nous éloigner. Je voulais te mettre au courant de ce problème plus tôt, mais j'ai remarqué que M.Sougre, le principal adjoint, se trouve comme par hasard toujours dans le même endroit que nous au même moment et je ne voulais pas t'attirer des ennuis en risquant qu'ils sachent que nous sommes au courants .Je voulais te dire autre choses. J'aurais vraiment préférer te le dire en face mais comme demain on va voir ta famille, et comme je ne suis pas sur de tes sentiments envers moi, je ne voulais pas risquer de gâcher ton séjours. Voilà je me lance ... Eleanor je t'aime. Ce n'est pas de l'amitié, ce n'est pas de l'attirance, c'est de l'amour. Du véritable amour.

Je t'embrasse, Stan !


Je ne comprend pas.

 C'est quoi cette lettre ? Pourquoi était elle sous mon matelas ?

Qui c'est ce Stan ?

 Et pourquoi est ce qu'il m'appelle "ma petite fourmi " ?

J'étais en train de me poser plein de question quand une violente douleurs à la tête me pris. Puis de nouveau cette étrange voix. Elle n'est ni grave, ni aiguë, elle ne laisse passer aucun sentiment, elle fait vraiment peur. 

" Eléanor bientôt tu serras à moi, bientôt" .

Cela faisait presque 5 min que j'étais couchée par terre agonisant, quand mes amis entrèrent en courant toujours en train de ce disputer :

-Elé ! Dit lui qu'il a tort ! Demanda Camille.
-Non, j'ai rien fais ! Se défendait Théo.
-Oh mon dieu ! Elena que t'ai t il arrivée !
-Je...je sais pas... j'ai la tête qui tourne, et mes jambes trembles...
-Calme toi respire . Dit la fille
-Oh putain mais bouge toi Théo ! Va chercher quelqu'un !!!
-Calme toi, arrête de t'énerver regarde, elle reprend des couleurs !
-Oh ma chérie ! Je t'aime tellement ! Tu m'as fait peur !
-Oui j'ai vu ! Dis je en rigolant doucement.

Théo m'aida à me relever, après que j'ai repris mon souffle, on décida de ce rendre au self . Très vite on remarqua qu'il ce passait quelque chose car à chaque pas que je fessait, les personnes qui ce situait autours ce m'était à chuchoter, je pouvais percevoir quelque :
"Mais ils ne sont plus ensemble", "Elle est là ! "

Tout d'abord la lettre, ensuite la voix et maintenant les chuchotements, je me demande ce qu'il ne va pas avec moi.

Je continua d'avancer dans le long couloir, quand une bande de 4 garçons immature ce mirent à m'insulter :

-Salle pute !

Criait un.

-Pétasse !

disait l'autre.

-Arrête de te la jouer !

Je passait par dessus ces insultes que j'avais appris à ne plus écouter dans mon passé jusqu'à ce que le dernier me dise quelque chose que je n'ai jamais, mais vraiment jamais supporté :

-Va mourir !

Je me stoppa net. Le lustre qui se situait au dessus de moi ce mit à bouger, le sol tremblait. Je n'arrivais pas à me contrôler, et j'était en train de m'emporter. Tous partirent en courant sauf le dernier garçon, qui lui ne pouvait pas bouger. Je l'avais glacé au sol. Mes bouclettes fines ce mirent à voler, je me tourna en direction du fautif, je commença à lever la main droite, ce qui fit instantanément le lever, quand on me stoppa. Théo et Camille. Je voulais leurs dire de partir mais mon pouvoir pris le dessus et d'un coup de bras je les envoya avec une telle puissance à l'autre bout du couloir. Je n'avais plus aucun scrupule. Une voix résonna encore dans ma tête elle me disait "vas y, fais le, tue le comme ton beau père". Ma main ce leva en direction de lustre et part lévitation je le décrocha . Je m'apprêtais à le lancer sur le garçon quand un éclair me fit m'écrouler sur le sol inconsciente.

Je me réveilla deux jours plus tard à l'infirmerie,  une sorte de mauvais pré sentiments me pris part et j'essaya de me sauver, mais en descendant du lit je fut prise de vertige et l'infirmière arriva pour me calmer . Elle me fit une série d'examens avant de me laisser parti . Je me rendis dans ma chambre pour me changer avant de me rendre à ma salle de cours . Arrivée dans la petite pièce, je m'assis sur la chaise qui ce trouvait au bord de la fenêtre et me repassa la scène qui c'était passé dans le couloir deux jours auparavant. Bizarrement je me mis à pleurer, la tête entre les genoux je me demandais pourquoi tout ce qu'il se passait n'arrivais qu' à moi. En plus j'avais blessés mes amis, et ça c'était pour moi impardonnable.
La cloche retentit. Je me précipita dans les couloirs pour essayer de retrouver mes amis avant le cours de mathématiques, mais il y avait un problème. Je n'arrivais plus à courir, c'était comme si mes muscles était bloqués quand je voulais allée plus vite. J'essaya tout de même de me dépêcher ce qui me fatiguais énormément.
J'arriva enfin devant ma salle, malheureusement ils étaient déjà rentrés, mais ça n'allais pas m'arrêter pour autant. Je déboula donc dans la salle et me mis à crié que j'étais désolée de leurs avoir fait du mal.Et à la tête qu'ils ont fait je compris que j'allais mourir car le professeur était juste derrière moi, et il était énervé :

-Mademoiselle, c'est comme cela que l'on rentre en classe ?
-Euuu...je... je suis vraiment désolée monsieur mais...
-Pas de mais ! Bon vas t'asseoir vite.

J'étais tellement occupée que je n'avais même pas remarquée qu'il y avait quelqu'un d'autre dans la salle, c'était ce Stan que j'avais croisée plusieurs fois.

Je m'assis à côté de Camille. :

-T'inquiète pas bichette je t'ai pardonnée. Chuchota t elle
-Oh merci ma poulette
-J'ai enquêter pour toi.
-A quel sujet ?
-Pourquoi les gens chuchotais.
-Ah et alors ?
-La seule chose que je sais, c'est que ça à un rapport avec Stan qui est revenue de mission hier. D'ailleurs il est pas mal le petit Stan...
-C'est bizarre pourquoi avec lui, on ne se connaît même pas ! Arrête obsédée !
-Je sais pas. Ahaha

Oups, quand Camille rigole ce n'est vraiment pas discret, on va encore s'attirer la rage du prof.

Tous ses événements qui sont arrivés en si peu de temps sont vraiment étrange. Et je me demande si il n'y a pas un rapport entre le Stan qui ma envoyé la lettre et celui de ma classe avec qui je suis apparemment amis selon les personnes de l'école.

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Merci d'avoir lu le chapitre 10. N'hésiter pas de mettre des commentaires pour me donnez votre avis.

Bisous.

L'école Des Secrets.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant