Twin stars

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Je rejoins alors Alexandre quand un homme qui a sûrement le même âge qu'Alexandre. Mais sa peau est plus pâle que lui, il est grand mais pas autant que lui, et il est imposant grâce sa son corps rempli de muscle.

-Madame Lucchese ?

Je ne me reconnais pas quand on m'appelle de cette manière.

-Oui?

-Je vous trouve enfin. J'ai entendu parler de vous depuis mon arriver mais je ne vous trouvais nul part.

-Excusez-moi de vous coupez dans votre enthousiasme mais qui êtes vous ?

-Oh oui mes plates excuses. Je me présente Carter Lucchese.

-Lucchese ? Répliqué-je.

-Je suis son cousin. Je vois qu'il n'a pas parler de moi à sa femme.

-Ça m'aurait étonner qu'il me parle simplement de sa vie.

-Excusez son comportement. Il a toujours été comme ça mais ne vous inquiétez pas un jour tout changera.

-Je ne penses pas d'ici là. Vous êtes proche de Alexandre ?

-Tutoyer moi, tu es de ma famille maintenant.

Ma famille.

Ma famille.

Sa famille.

-Ta famille ? Dis-je hésitante.

-Oui ! Tu t'es marier avec mon Cousin, mon frère alors oui.

-Ce n'est pas l'impression qu'il donne Carter.

-Ça ne m'étonne pas. Mais ça viendra avec le temps je t'assure. Alexandre a un cœur.

Je laisse échapper un rictus. Alexandre avoir un cœur ? Et puis quoi encore. C'est comme si il me disait qu'une pizza végétarienne contenait de la viande. Ce n'est pas là meilleur comparaison mais passons. La meilleur comparaison pour lui serait que de la merde avait bon goût. La. même. chose.

-Arrêtons de parler de lui. Le savoir sous le même toit m'agace déjà alors parler de lui a l'extérieur de ce toit m'agace aussi. Sans te vexer bien évidemment !

-Je comprends ne t'inquiète pa-

-Carter mon frère !

Sa voix grave et rauque surgit derrière mon dos. Qu'il peut être agaçant des fois.

-Alexandre tu vas bien ?

-Ça pourrait. Que fais tu avec Rosa ?

-Je discute simplement.

-Ne me la vole pas. Crache t-il sèchement à son cousin.

Mais qu'il est bipolaire ce mec. De quel droit.

-Tu es vraiment bipolaire comme mec.
Crachais-je a mon tour.

-Non protecteur.

-Sois protecteur avec toute les femmes que tu trouveras belle pas moi.

-Qui a dit que je te trouvais belle ?

-Voilà c'est régler.

Je ne peux pas partir. Je me retrouverais seul alors je reste avec eux mais près de Carter ce qui énerve Alexandre. Son regarde noir me donne des frissons dans la nuque. Je le déteste.

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De retour à la maison ce gala était ennuyeux et inutile. Je n'ai fais que suivre ce connard comme un clebs. Je l'imitais je pense. A peine la porte d'entrée ouverte je fonce vers notre chambre changer de linge. J'aurai aimé avoir ma propre chambre comme il m'avait dit de choisir la dernière fois.

Mais ce clebs de merde à fermer à clé toute les porte qui mène au chambre pour que je sois dans la même chambre que lui. Pervers.

Il me rejoint dans la chambre et je sens son regard sur moi.

-Pour notre bonheur et notre intimité a tout le deux laisse moi une chambre.

-Non.

-Pardon ? Tu ne peux pas m'obliger à dormir avec toi.

-Rosa non. Je peux pas te donner les chambres pour une raison qui ne regarde que moi.

-Mais POURQUOI. Je ne peux pas passer toutes ma vie à dormir sur le canapé.

-Tu en as décidé toute seul de ce sort.

-Non. Je l'ai décidé car tu m'obliges à dormir avec toi.

-Parce que simplement les chambres sont condamné. Maintenant dépêche toi je dois aussi me doucher.

Je souffle et vais me doucher et changer. Je n'ai pas envie d'avoir mal au dos ce soir. Je me dirige vers le lit et m'allonge sur le lit en me mettant sur le bord. Il me rejoint ensuite mais lui n'en a rien à faire il se place au milieu de lit.

-Bouge ton corps putain.
Crachais-je.

-Avec politesse ?

-Tu me fais chier.

-Toi aussi sale garce. Contente toi de ce que tu as.

Je me lève du lit en prenant soin de mettre tout mon poids sur son ventre pour le lever.

-Fais attention putain t'es conne ou quoi.

-pauvre bichette.

J'attrape un coussin et le dépose sur le canapé au fond de la chambre et le plaide poser sur celui ci

-Rosa arrête tes conneries et viens.

-Non.

-putain mais qu'est ce que t'es chiante.

-Je m'en fiche.

Il ne dit plus rien. Tant mieux. Je ne veux l'entendre. Il est égoïste et ne pense cas lui ce narcissique de merde. Mais bon passons. Demain je vais découvrir qui a tuer ma mère. Je sais à qui poser la question. A Riccardo Lucchese. Le plus grand mafieux qui est capable de faire une tél choses. C'est l'ennemie de mon père alors tuer sa femme serait évidemment. Mais si c'est lui je m'en fou des conséquences. Tant que je vengerais ma mère.