SIALOSTRE | EN COURS D'ÉCRITURE

CHAPITRE 18. Goût

BONJOUR 👀♥️

PUTAIN JE SAIS QUE J'AI PRIS DU RETARD MAIS J'ÉTAIS VRAIMENT MALADE LÀ SEMAINE DERNIÈRE ET DU COUP J'AI RIEN PU ÉCRIRE ET JE ME SUIS RETROUVÉ AVEC DES TAS DE DEVOIRS, DE COURS À APPRENDRE ET L'ÉCRITURE DE MON HISTOIRE 😭✨

POUR ME FAIRE PARDONNER, JE VAIS ESSAYER DE POSTER UN AUTRE CHAPITRE LE PLUS VITE POSSIBLE, MAIS JE DIS BIEN JE VAIS ESSAYER 🥰

EN TOUT CAS I LOOOOVE SOOOOO MUSSSSSH ET MERCI POUR VOS COMMENTAIRES ♥️

BONNE LECTURE DU COUP 🌝📖♥️

CHAZ

Vor V La Muerta...

J'occupais une position de grande importance au sein de cette organisation, une entité autrefois sous la direction de mon père. Cette organisation était bien connue comme étant le plus vaste réseau criminel du Mexique, rassemblant une myriade de criminels notoires et de cartels issus de tous les coins de l'État mexicain. Mon père avait établi les fondations de cette organisation avec son frère, son connard de frère, mon oncle, Sergei...

Mes sentiments envers lui demeuraient froids, je ne l'appréciais toujours pas, bien que nous ayant le même sang. Nos relations avaient toujours été tendues et ce, bien avant le décès de mon père. Disant que baiser la femme de son frère le jour de ces funérailles n'était pas respectueux, même en étant le nouveau Padrino de la Vor V La Muerta. Ça aurait du être moi, mais j'étais jeune. Une excuse ridicule des membres de l'organisation pour éviter ne serait-ce qu'un peu le règne du sang légitime de Ryan Volkov.

J'avais grandi pour la plupart du temps dans cette maison, la propriété de la Vor V La Muerta. Mon père passait ses journées ici plutôt qu'à la maison et autant qu'héritier de sa monarchie, je me devais de rester avec lui. Les pires choses que pouvaient arriver à un être humain m'était arrivé ici entre les barreaux du portail de cette propriété. J'avais atteint les limites de la souffrance humaine dans cette demeure.

Cauchemardesque ?

La maison avait une aura terrifiante, mais le luxe dissimulait cette image sinistre. Le portail s'ouvrait sur un vaste chemin pavé bordé de hauts arbres. La façade principale de la maison était un véritable chef-d'œuvre architectural. Les fenêtres étaient des œuvres d'art en elles-mêmes, ornées de sculptures en fer forgé délicates et encadrées par des rideaux de velours écarlate. Il fallait admettre que les architectes de mon père avait fait du bon travail.

Rien n'avait changé ici, absolument rien.

En pénétrant dans l'entrée principale, suivie de près par mes hommes, mes pas résonnaient dans le couloirs. Les lustres étaient très brin éclairés, me rappelant d'anciens souvenirs. Principalement celui où mon père avait l'habitude d'accrocher les têtes de ses maîtresses sur ces mêmes lustres. Son sadisme était notoire. Je me demandais où Sergei avait bien pu jeter les têtes ?

Mon père faisait flipper tout le monde, ses ordres n'avaient rien de rationnel, rien de ce qu'il faisait n'était logique. J'avais toujours douté de sa sente mentale, il n'était pas stable, il avait toujours eu des fantasme assez étranges. Sa mort avait fait le bonheur de tout le monde, surtout celui de mon oncle.

M'arrêtant face à une porte, un de mes hommes se précipita de m'ouvrir la porte et je tombai sur le regard de Sergei. Le connard. M'avançant, je traversai la pièce semblable aux salles royales françaises du XVIIIe siècle. Mon oncle avait un certain goût... assez typique. M'asseyant, un silence solennel régna dans la pièce. Je levai mon regard blasé vers mon oncle, alors qu'il avalait une gorgée de son vin au centre de la table. Son regard se tourna vers sa droite et je fis de même. Dagda O'Sullivan en personne était là. Un honneur ? Mes couilles oui !