Les courbes de ton corp
Je les admire
Même si tu n'oses pas t'en servir
Plaque-moi contre le rebord
De la fenêtre de dehors
Embrasse-moi jusqu'à mourir
Que je goutte enfin à se plaisir
De pouvoir te saisir
Et t'aimer
Jusqu'à ce que tu sois affolée
« Jusqu'à se que tu sois affolé »
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Et si les étoiles nous observaient ?
Poesíales mots sauvent mais les mots tuent ils révèlent les pensées les plus profondes comme les plus insensées ils blessent et guérisses ils voyages tout en restant sur du papier il font pleurer sans causer aucune larme ils font sourire sans décrire...