AD ASTRA PER ASPERA
To the stars through difficulties
TW : Meurtre
PROLOGUE
14 ans plus tôt
Reggio de Calabre, Religione Calabria
Il devait être environ sept heure du soir, lorsqu'un homme à la corpulence impressionnante s'approcha de la petite fille maigrichonne en train de jouer à pallapugno* seule.
Il devait avoir une quarantaine d'années tout au plus. Ses cheveux étaient grisonnant, et ses yeux semblaient raconter une histoire. Sa bouche était charnue et son nez aquilin semblait avoir été cassé plusieurs fois.
Il observa la petite fille quelques temps derrière un arbre massif qui le cachait entièrement. Il surveillait également de temps à autre les alentours. Personne ne devait le voir.
Lorsqu'il fut sûr que personne ne pouvait les surprendre, il s'approcha rapidement d'elle, avec un grand sourire et une peluche à la main.
- Coucou rosa ! commence-t-il d'une voix comme attendrie.
- Bonjour monsieur. Je n'ai pas le droit de parler aux inconnus, répond-t-elle rapidement en dirigeant son regard vers la fenêtre de sa petite maison délabrée.
Elle s'en était beaucoup éloignée, trop concentrée sur son jeu.
- Je ne suis pas un inconnu, Arya. C'est juste que tu ne me connais pas encore.
- Vous avez deviné mon prénom bravo ! dit-elle avec un grand sourire.
- Bien sûr mia rosa. J'ai même un cadeau pour toi regarde, ajoute-t-il en lui montrant la petite peluche qu'il tient dans la main.
Il s'agissait d'un petit lapin qui avait l'air d'avoir plusieurs années, avec une oreille et le ventre dont sortaient d'eux du coton. Comme s'il avait déjà servi à un enfant.
- Elle est trop mignonne elle s'appelle comment ?
- Martha. Martha le lapin, c'est comme ça qu'elle s'appelle.
- T'es trop belle Martha le lapin. Merci monsieur, dit-elle en se dirigeant vers lui et en se débarrassant de sa balle pour récupérer la peluche.
- Tu l'aimes bien ?
- Je l'aime trop ! J'en veux encore !
- Très bien, je suis à tes ordres princesse Arya. Regarde, j'en ai pleins qui t'attendent là bas.
- Donne moi les tous ! ajoute-t-elle avec un sourire éclatant qui semble émouvoir le mystérieux homme.
- D'accord, mais avant nous allons jouer à un jeu d'accord ? demande l'homme qui s'était agenouillé devant la petite quelques minutes plus tôt.
- Oui ! répond la petite fille de sa voix encore fluette.
- Tu vas aller voir... papa et maman..., et leur demander de sortir devant l'immeuble.
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RESILIENCE
Romance« Soyez prêts. Car je ne vous laisserai aucun répit. J'arrive » Laissez moi vous raconter mon histoire. Je ne vis que pour une chose : me venger. On m'a dit que je n'y arriverai pas. Que je ferai mieux d'abandonner. Que je ferai mieu...
